1. Plaisir matinal


    Datte: 28/05/2018, Catégories: fh, fplusag, frousses, inconnu, hépilé, vacances, forêt, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral québec, occasion, camping, Auteur: Ingyt, Source: Revebebe

    ... fermés, surtout quand elle riait comme maintenant. Une bombe sur laquelle fantasmaient la plupart des hommes sensés. Y compris moi, comme bien d’autres, et j’avaistripé sur elle terriblement à une certaine époque. Elle avait le plus beau sourire de la colonie artistique, tout le monde s’accordait là-dessus. Et elle était là, juste à côté, et me regardait décharger dans la bouche de sa tante. J’hallucinais.
    
    Elle riait toujours de bon cœur, les yeux pleins d’eau, comme je l’avais vu faire si souvent à la télé en nous regardant l’un et l’autre. Une fille un peu garçon manqué, avec de jolies dents de lapin. J’avais une grosse collection de photos d’elle dans mon ordinateur. Elle avait été mannequin à l’adolescence, elle avait tout pour ça, puis journaliste et maintenant lectrice de nouvelles. À cinquante ans, elle restait encore une des femmes les plus sexys du Québec et elle posait souvent dans des magazines féminins. Il y avait beaucoup de vidéos d’elle sur le net en robe sexy dans des galas, ou de ses décolletés plongeants quand parfois elle participait à des jeux télévisés.
    
    J’aurais jamais cru la rencontrer un jour et encore moins dans cette situation, la culotte à terre, et ça la faisait rire, en plus ! Ça décupla mon plaisir.
    
    — Ouais ! fit-elle avec cette voix un peu enrouée si typique que j’avais entendue si souvent à la télé. Pendant que jeniaise comme une dinde à attendre les secours, ma tante fait une pipe à un bel homme. Ah ben ! Belles fesses, en plus, et ...
    ... regardez-moé ces belles cuisses-là, toutes lisses, wow ! Est bonne celle-là ! Vous savez, me dit-elle en me fixant, ma vieille tante est pas la meilleure de la famille pour faire une pipe !
    
    Jésus-Christ, la lectrice de nouvelles si sérieuses venait de me dire ça !
    
    Un peu dépassé, je regardai la tante qui n’avait même pas levé les yeux comme si on était toujours seuls, sauf pour lâcher mes couilles et faire un doigt d’honneur à sa nièce qui pouffa de rire encore une fois à en pleurer. Puis elle me regarda et s’approcha en me fixant droit dans les yeux. Mon cœur bondit.
    
    — Salut ! dit-elle en me tendant la main et arborant un large sourire. Moi, c’est Marie !
    
    Elle savait très bien que je l’avais reconnue et ça semblait l’amuser terriblement.
    
    — Je sais ! fis-je en tremblant et en suant à grosses gouttes, lâchant les cheveux de sa tante pour lui serrer la main.
    
    Au paroxysme de l’orgasme, ça m’électrifia littéralement.
    
    — Je sais, c’est un beau prénom ça, monsieur ! fit-elle amusée, prenant un petit air coquin en penchant la tête pour s’amuser à mes dépens.
    
    Je la trouvai plus belle qu’à la télé, sans maquillage, au naturel comme ça ; et ses yeux… Ouf !
    
    — Paul, fis-je à bout de souffle et chancelant.
    — Très heureuse, Paul, vous êtes en train de conclure, on dirait ! fit-elle les yeux rieurs en me lâchant la main.
    
    Des yeux brun-vert splendides.
    
    — Oui ! grommelai-je comme un imbécile en ravalant ma salive.
    — Eh ben, en tout cas ça a l’airle fun ! Chut ...
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