Plaisir matinal - Histoires de Sexe

Plaisir matinal

... heureuse, Paul !

Le simple fait de lui serrer la main me donna la chair de poule.

Elle me fixait toujours tandis qu’on se lâchait les mains, je la trouvais si désirable que mon cœur en cognait et que j’en avais un nœud dans l’estomac et elle sembla prendre une décision. Elle me tendit la tasse de sucre en disant tout bonnement :

— N’en renversez surtout pas ! Je vais vous soulager si ça ne vous ennuie pas ?
— Pardon ?

Éberlué, je la vis se mettre à genoux devant moi, lever la tête et me regarder en rajoutant :

— Je voudrais pas vous créer d’ennuis avec votre dame, Paul, mais je pense qu’une bonne pipe vous ferait du bien !

Je déglutis, croyant rêver les yeux agrandis.

— À devrait pas se lever trop tôt ce matin, Pierrette, ça devrait aller ; et puis elle et moi on n’est pas jaloux ! Et vous ? demandai-je en pointant son anneau au doigt qu’elle regarda.
— Mon mari ! Extrêmement jaloux, mais mort et enterré depuis dix ans ! Vous inquiétez pas, Paul. Alors, ça vous tente ?
— Oh, oui !
— Good, fit-elle toute joyeuse en me déboutonnant.

Ses doigts frôlèrent mon gland, ça m’électrisa et fit pulser ma bite.

Elle baissa ma fermeture éclair et descendit mon short aux genoux. Ma queue bien droite et sans prépuce lui bondit sous le nez. Pierrette plissa les yeux, visiblement excitée.

Elle l’agrippa, ses doigts minces en faisaient le tour tout juste puis elle me branla lentement, pressant mes couilles basses et sans poils de l’autre main en disant ...

... :

— C’est un beau pénis, ça, et les couilles, Seigneur ! c’est si doux sans poils. Ça fait longtemps que j’ai pas fait une pipe à un homme, Paul, j’ai jamais été une bonne suceuse mais je vais faire de mon mieux. Faudra juste m’avertir avant de jouir, OK ?

Jésus, Marie, Joseph ! j’étais aux anges en la regardant faire les yeux petits. Je planais en serrant mes petites fesses de plaisir, déjà. J’aurais tout donné pour avoir ma caméra.

— OK ! fis-je la voix enrouée en écartant les pieds le plus que je pouvais.
— Pas de prépuce, en plus, j’aime mieux ça. On vous l’a enlevé à la naissance ?
— Oui, fis-je en grimaçant. On le proposait aux mères, à l’époque, pour l’hygiène.
— Je savais pas. Pis les cuisses, fit-elle en lâchant mes couilles pour me les caresser, ah ! que c’est doux, j’aime ça !
— Good ! lâchai-je dans un souffle tandis qu’elle reprenait mes testicules.

Ça la fit rire puis, redevenant sérieuse, elle amena mon gland à sa bouche grande ouverte langue sortie, une toute petite langue pointue, et l’avala en gardant les yeux baissés. Elle commença à donner de la tête lentement en salivant énormément. Elle me suça juste le bout de la bite en mecrossant doucement à poing fermé. Un lent mouvement de va-et-vient fantastique. Moi, d’une main je caressais sa chevelure épaisse et de l’autre je tenais la maudite tasse de sucre que je ne pouvais plus poser par terre. Mes fesses se contractaient, mon anus pulsait, mes genoux tremblaient et mes orteils se repliaient déjà ...