Plaisir matinal - Histoires de Sexe

Plaisir matinal

... nièce lui tendit la main et l’aida. J’en revenais pas d’être là, bite à l’air bandée dur à me la secouer devant ces deux femmes, la lectrice de nouvelles surtout qui rougit un peu en regardant sans détour ma bite droite et encore bandée dure qui laissait s’écouler un peu de sperme gluant qui tombait en s’étirant sur la terre battue. Je pris mon temps pour bien me la presser.

Et elle me demanda avec un de ses fameux sourires :

— À suce bien, ma tante, Paul ?
— Super bien ! lâchai-je dans un souffle, toujours excité en remontant mon short et y replaçant ma bite difficilement encore une fois.

Elle me regardait me démener, amusée, les yeux brillants, en ramenant d’un geste machinal ses cheveux derrière ses oreilles.

— Tabarouette ! C’est beau les cuisses rasées ! De même j’en reviens pas, ça doit être doux ! Toé gars devrait faire ça, hein, ma tante !

Je me contentai de sourire en sentant mon cœur reprendre un rythme plus normal. Juste à penser que cette femme-là avait vu ma bite, ça m’aiderait pas à débander avant un bout. J’étais encorepogné comme avant, bandé dur sous mon short, mais soulagé.

— C’était pas ça le coup de main dont j’avais besoin, Paul, me dit-elle.
— Oups ! fis-je en souriant et reprenant mon souffle.
— Arrête, Marie ! fit sa tante très digne malgré la situation en replaçant sa chevelure avec son sein toujours à l’air taché de sperme, l’autre à demi sorti. Le pauvre Paul aussi avait besoin d’un coup de main.
— J’ai ben vu ça ! Bon, si ...

... on allait arranger la roulotte, pis rentre dont tes boules, ma tante !
— Seigneur ! fit Pierrette en replaçant son sein sous sa camisole. Viens pas me dire que c’est la première fois que tu voués les seins d’une autre, Marie ?
— Non, mais ceux de ma tante, oui, pis avec du sperme dessus, en plus ! Pis t’en as encore sur le menton.

Elle souleva sa camisole, dévoilant sa poitrine au complet, s’essuya le visage avec et la replaça.

— Là, ça va ?
— Oui, ma tante, pis merci pour le chaud !
— Comme ça, je suis pas la meilleure suceuse de la famille, hein ?
— Non ! fit l’autre amusée.
— C’est toé je suppose !
— Peut-être ! fit sa nièce en rougissant.
— Ben montres-y donc ça, y pourra se faire sa propre idée, ma grande ! Regarde, y est encore prêt, le pauvre !
— Ben là, woh ! Pauvre lui, laisse-le reprendre son souffle, ma tante, fit-elle en riant et me jetant un coup d’œil torve.

Je savais qu’elle me taquinait mais les entendre parler de ça aussi franchement me galvanisa.

— Pis ça risquerait de le tuer par cette chaleur-là. Mais je peux juste…

Là, elle s’approcha en se penchant et me flatta la cuisse. Jésus-Christ ! ma bite pulsa.

Marie se redressa en disant :

— Ouh ! C’est doux, doux… Tabaroutte, j’aime ça ! Bon, on y va ? fit-elle les joues encore plus rouges.

Je flottais littéralement à marcher avec cette bombe sexuelle sur laquelle j’avais tantflippé juste à côté de moi et cette dame rousse si bandante qui venait de me sucer. La vie est belle, ...