1. Plaisir matinal


    Datte: 28/05/2018, Catégories: fh, fplusag, frousses, inconnu, hépilé, vacances, forêt, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral québec, occasion, camping, Auteur: Ingyt, Source: Revebebe

    ... arrivée juste à temps pour sauver le sucre ! dit-elle moqueuse en soulevant la tasse comme si c’était un trophée. On va pouvoir se faire un bon café, ma tante, ça va changer le goût.
    
    Là, elle rit de plus belle et moi aussi. C’était une des rares filles que je trouvais drôles à la télé. Elle avait un bon sens de la répartie quand elle passait en entrevue et un bon sens de l’humour et de l’autodérision.
    
    — J’en reviens pas ! ajouta-t-elle en s’essuyant les yeux et se reculant un peu comme pour avoir une meilleure vue d’ensemble. Ma tante ! Vous avez pas honte ?
    
    Elle resta là à regarder, une jambe droite, l’autre tournée vers l’extérieur, un bras croisé sous ses seins que je trouvai plus gros que ce que j’imaginais, tenant la tasse comme si elle posait pour une pub de café et semblait s’amuser follement en se mordillant les lèvres.
    
    La tante recommença à me pomper en agitant la langue autour de mon gland ultra sensible. Ça me ramena à la réalité comme un coup de fouet sur les fesses. J’avais fini de décharger mais du sperme coulait encore un peu. Du bout de la langue, elle le cueillait en touchant ma petite fente au sommet du gland, m’arrachant une grimace. C’est vraiment sensible cet endroit-là quand on vient d’éjaculer !
    
    — On mord pas, ma tante, c’est pas fun, ça ! se moqua la vedette.
    
    Je ris encore en la fixant. Elle me regarda intensément un moment, son sourire diminua, je vis qu’elle comprenait à quel point la voir là à nous regarder m’excitait, et je ...
    ... compris que ça l’excitait elle aussi, ses mamelons pointaient sous le tissu noir du bikini que je ne pus m’empêcher de regarder franchement ce qui ne sembla pas la déranger. Populaire comme elle l’était, elle avait dû s’habituer à se faire regarder de la sorte j’imagine et puis elle savait fort bien à quel point elle faisait fantasmer les hommes N’empêche que ça me gêna et je détournai les yeux.
    
    C’était hallucinant comme situation et je regardai à nouveau la bouche de Pierrette. Du sperme débordait de ses lèvres, elle n’avait pas pu tout avaler et ça coulait sur son menton, tombant sur son sein à l’air et sa camisole.
    
    Je finis de jouir sans y croire, le souffle court et en sueur, cette fois je rêvais, c’était certain. Pierrette me suçait toujours, les joues rouges, en jetant un coup d’œil à sa nièce qui lui fit un clin d’œil. Mon gland devenu trop sensible me faisait presque mal.
    
    — Ça va Pierrette, ouf… ça va… merci ! fis-je en grimaçant.
    
    Elle recula la tête, laissa sortir mon gland de sa bouche et me lâcha la hampe et les couilles pour s’asseoir sur ses fesses, essoufflée elle aussi, en disant, pendant que du sperme épais pendouillait de son menton en s’étirant :
    
    — Seigneur ! fit-elle, pour un petit monsieur, ça sort entabarouette.
    
    L’animatrice rit de plus belle, prenant un petit air de découragement superbe.
    
    Je me la pris, excité de m’exhiber ainsi devant elle et de me la secouer. Tandis que Pierrette s’essuyait la bouche du dos de la main et se relevait, sa ...
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