1. Comment sauver son mariage (cocu)


    Datte: 30/08/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Hardcore, Première fois Auteur: grandalfo, Source: xHamster

    ... chose, que ça venait de moi, que je devais me remettre en cause et pardonner. Mais mes efforts ont été vains, il a remis ça, et je continue de me demander comment faire pour qu’il me revienne.
    
    Michel me regarde. Ses yeux me transpercent d’une infinie rudesse. J’ai peur de lui, et je ressens une forme d’émoi à l’idée qu’il puisse me toucher. J’ai envie qu’il me touche. Pas qu’il me touche partout, non, juste sentir sa main sur la mienne, par exemple, juste pour voir, juste pour vérifier si je ressentirais ou pas quelque chose de particulier. Mais je ne vais pas faire le premier pas et pour tout dire, j’espère qu’il ne me touchera pas, que je n’aurai pas à résister, que la tentation s’évanouira.
    
    — Voulez-vous un autre whisky ?
    
    — Volontiers, me répond-il en me tendant son verre.
    
    Maladroite, je m’approche pour le servir. Il me regarde et me détaille de la tête aux pieds. Son regard est une agression dont je ressens les piqûres jusqu’à la pointe de mes seins. Ma main tremble quand le liquide coule. Il la saisit fermement en me regardant dans les yeux. Quand le verre est à moitié plein, il me confisque la bouteille et la pose au sol. Il me tire vers lui pour m’asseoir sur ses genoux. J’ai envie de dire non, mais pas tout de suite. Il me fait peur, mais j’aime ce sentiment finalement, celui d’être à sa merci, d’être faible entre ses mains.
    
    Il a mis son nez dans mon cou et me hume, sans délicatesse. On dirait un chien qui renifle sa proie. J’ai des frissons partout. ...
    ... Ses mains maintiennent toujours mes poignets. Dès qu’il me lâchera, je me lèverai pour retourner m’asseoir. Mais avant je voudrais qu’il me renifle encore un peu, et peut-être même un peu plus.
    
    Je sens sa langue dans mon cou, une langue large et chaude, humide, autoritaire. Il a lâché l’un de mes poignets et sa main libre a saisi mon cou, comme s’il allait m’étrangler. La pression n’est pas très forte, mais il me tient. Ma respiration devient bruyante, j’ai envie de fuir. Il me fait peur. J’ai posé la main qu’il a lâchée sur la sienne avec l’intention de la tirer pour qu’il lâche mon cou, mais je me surprends à ne rien en faire. Ma main est posée sur la sienne, immobile. Il me lèche jusqu’à l’épaule, et sa main dans mon cou se met à bouger. Je suis le mouvement, docile.
    
    Si Roland rentrait maintenant, il me trouverait ainsi, assise sur les genoux d’un inconnu qui me domine, qui sent que je résiste encore et n’en a cure. Je voudrais qu’il rentre maintenant et que ça s’arrête, qu’il me libère, qu’il empêche cet homme d’aller plus loin. Mais j’aimerais bien aussi qu’il ne rentre pas encore, que je puisse encore un peu sentir cette main ferme qui est en train dégrafer mon corsage, caresser ma peau, juste un peu.
    
    J’ai honte, presque, de me laisser ainsi faire. Mon instinct me dit de stopper, mais mon corps a envie que ça dure encore un peu. Mon corsage est ouvert, et je n’ai rien fait pour l’empêcher de dégrafer mon soutien-gorge. Il va bientôt voir mes petits seins. Cette ...
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