1. Comment sauver son mariage (cocu)


    Datte: 30/08/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Hardcore, Première fois Auteur: grandalfo, Source: xHamster

    ... indécence à laquelle je me laisse aller me fait horreur, mais j’ai envie qu’il les voie, juste un peu, puis après j’arrêterai. Je vais le laisser regarder, peut-être toucher un peu, puis je dirai stop.
    
    Un instant j’ai tenté de maintenir mon soutien-gorge contre ma poitrine, mais il a saisi ma main, et l’a posée sur ma cuisse, fermement, comme pour me dire, « maintenant, ne bouge plus ». Il a tiré les balconnets pour me découvrir et a saisi immédiatement mon sein qu’il s’est empressé d’embrasser.
    
    Si j’étais une femme facile, je le laisserais continuer, tellement c’est agréable. Il me mordille le téton et j’en ressens des frissons jusque dans ma culotte. Mais ce n’est pas raisonnable. Je ne suis pas une femme facile. Pourtant, je vais le laisser continuer encore un peu, d’autant que depuis qu’il a pris mon autre sein dans sa main, mes frissons ont décuplé. Je sens des papillons parader dans mon bas-ventre et cette sensation m’enchante. Ça fait longtemps que je n’avais pas ressenti ça. Il faut que je le stoppe maintenant, je l’ai laissé aller trop loin.
    
    Je n’ai pas eu le temps de prononcer le moindre mot. Il a posé la bouche sur mes lèvres, et sa main est allée chercher la mienne pour la diriger d’autorité sous mes cuisses. Je comprends à ses mouvements qu’il veut que je me touche.
    
    Ses doigts dirigent les miens vers mon sexe et les pressent pour que je me masturbe. C’est totalement inconvenant. Je vais lui faire plaisir, juste un peu, et j’arrêterai. Je l’ai ...
    ... laissé entrer sa langue dans ma bouche et je caresse ma chatte au travers de ma culotte trempée. Ce ne sont plus des papillons dans mon ventre, mais des abeilles qui font vibrer leurs ailes et m’encouragent. Il me caresse l’intérieur des cuisses maintenant, et je pourrais cesser de me masturber puisqu’il ne m’y oblige plus, mais je continue, je perds le fil de mes idées. Il a écarté ma culotte pour que je sente mes lèvres bouillantes et humides palpiter. Je ne me caresse plus, je me branle, et quand il pousse mes doigts vers ma vulve, je comprends ce qu’il veut. Après tout, je peux bien faire ça juste un peu, et je lui demanderai ensuite d’arrêter. Je me pénètre de mes doigts et me fige, tellement cette sensation est énorme. Il continue de m’embrasser et de me caresser les cuisses, mais c’est moi qui suis en train de me donner du plaisir. Si je n’arrête pas immédiatement, je vais jouir. Ça ne se fait pas.
    
    Il a dû comprendre, a quitté ma bouche, et m’a poussée pour m’allonger. Mes fesses sont sur ses genoux, mes jambes écartées sont dans le vide d’un côté, ma tête dans le vide de l’autre. Il a relevé ma jupe pour regarder ma main entre les cuisses, et me caresse les seins en me pinçant les tétons. Je lui offre une vue d’une totale dépravation, la vue d’une femme mariée et fidèle en train de se faire jouir devant un inconnu. Je ne peux plus m’arrêter alors que sa seconde main est venue m’assister en titillant mon clitoris en feu. Je jouis, j’exulte, je suis sale et ignoble, ...
«12...91011...14»