Fuir, ne pas revenir
Datte: 03/08/2021,
Catégories:
fh,
fhh,
hplusag,
profélève,
fsoumise,
hdomine,
facial,
Oral
double,
fsodo,
sm,
f+prof,
Auteur: Tito40, Source: Revebebe
... les couilles avant d’aller dîner en ville avec sa femme.
Sa femme, une bonne bourgeoise jupe-plissée-queue-de-cheval qui ne devait accepter la pénétration que pour l’utilité des éjaculats dans un but procréatif, je l’ai rencontrée plusieurs fois. Naturellement, il ne m’a pas présentée comme sa pute personnelle mais comme une ancienne élève brillante. Les yeux de cette femme en dirent long quand elle me fixa, l’air méchant, la bave aux lèvres. Elle devait savoir que son mari baisait ailleurs, et sans doute avec moi, mais elle resta civilisée et bonne épouse soumise. Hector me confiera – et ce sera l’une de ses rares confidences que j’aurai obtenue après une colère homérique – qu’elle était peu portée sur le sexe. Je m’en serais douté. Il avait ajouté, comme une excuse à ses frasques, qu’elle était en mal d’enfants et stérile, ce qui n’était pas de nature à l’aider à se libérer. J’ai demandé à Hector s’il aimait sa femme, et devant son air interdit, avant qu’il ne change de sujet, j’ai poursuivi en lui demandant s’il m’aimait, moi. Pas de réponse. Il a sorti sa queue déjà raide et il m’a montré ce qu’il aimait en réalité. Me prendre. M’enculer. Cracher dans mon cul, se rhabiller, et retourner voir sa gerce. Et moi, comme une grosse conne, j’ai cru bon de crier pendant qu’il me déformait la rondelle, que j’étais amoureuse de lui. J’aurais pu pisser dans un violon.
Quand j’ai appris qu’il payait Alain, évidemment je n’ai plus accepté qu’il entre dans l’appartement pour me ...
... sauter. Le bien qu’il m’avait fait n’était rien comparé à la douleur que j’avais ressentie quand j’avais appris sa forfaiture. Pour me venger, j’aurais pu le quitter, l’humilier, aller voir sa femme, lui faire de la pub partout, mais au lieu de ça je me suis laissée draguer chaque fois que possible, jusqu’à rencontrer un gars qui me plaisait physiquement.
Hector n’arrêtait pas de me harceler au téléphone mais je ne répondais pas. Je laissais sonner. Je ne répondais pas à ses messages. Et naturellement je ne retournais plus à son appartement. Ses messages, je les lisais quand même, mais ce qu’il m’écrivait ne méritait pas de réponse. C’étaient des éructations, des menaces, des insultes. Alors je me suis laissée aller.
J’ai vécu une aventure douce et tendre avec un gars de mon âge qui me montrait du respect et me faisait l’amour avec douceur. Au bout de 3 jours il me disait déjà qu’il m’aimait et me le répétait sans cesse. Je lui répondais par un sourire et je m’offrais à lui. Il me faisait du bien dans sa quiétude, dans sa posture d’homme loyal et mesuré. Mais je ne prenais pas un plaisir immense. J’étais en manque d’Hector, mais ce respect que j’avais tant imploré, finalement, j’étais de plus en plus tentée d’y renoncer à jamais si je devais être malheureuse plus longtemps.
Puis un soir, les planètes se sont alignées. Mon compagnon venait de me dire qu’il voulait un enfant de moi, ce qui aurait dû me rendre heureuse, et Hector m’envoyait quelques secondes plus tard un ...