1. Fuir, ne pas revenir


    Datte: 03/08/2021, Catégories: fh, fhh, hplusag, profélève, fsoumise, hdomine, facial, Oral double, fsodo, sm, f+prof, Auteur: Tito40, Source: Revebebe

    ... texto que je n’espérais plus :
    
    Enfin il m’avouait que je lui manquais. Sa fierté avait dû le tenir à l’écart de ce genre d’aveu, mais il s’y était enfin résolu. J’ai quitté Jean-Marc sur le champ pour rejoindre la garçonnière, et j’ai pris cher. Mais qu’est-ce que c’était bon ! Il a rattrapé le temps perdu, mon Hector. Quand il en a eu fini avec moi, j’avais mal au cul comme jamais. Je puais le sperme, le cul, la sueur, mais j’étais repue et satisfaite. Il m’avait laissé lui dire que je l’aimais, me répondant par des grognements que j’imaginais positifs.
    
    Enfin il a commencé à accepter qu’on se montre ensemble. Pas dans notre ville ; ce serait pour plus tard m’a-t-il dit, mais j’étais déjà assez fière, même si c’était à une heure de route ou plus, de me promener à son bras. Et puis on baisait un peu ailleurs, dans des hôtels, dans sa voiture. Je m’imaginais sa compagne, son amour. J’espérais qu’il me dirait qu’il m’aimait, un peu plus tard, qu’il quitterait sa bourgeoise, que je deviendrais sa régulière et peut-être même sa femme. Je me faisais des films, et ça finissait au lit, où il était toujours aussi efficace, toujours aussi directif, toujours aussi puissant. Il me faisait grimper aux rideaux avec virtuosité, mais toujours sans tendresse.
    
    Puis un soir, il m’a emmenée dans une boîte un peu spéciale. Je ne vais pas rentrer dans les détails, mais ce fut un moment ...
    ... humiliant, dégradant. Ce qu’il m’avait fait subir en ramenant une pute à la maison pour la baiser devant moi n’était rien comparé à ce soir-là. J’ai dû me laisser toucher par plusieurs hommes, me laisser doigter, me laisser baiser. Et lui il regardait. Je suis ressortie d’un hammam les larmes aux yeux tellement j’avais dérouillé, mais ça ne l’a pas empêché de me conduire dans une petite pièce avec des miroirs partout et des gens autour qui regardaient. J’ai accepté, résignée, de me laisser prendre par un gros mec qui sentait la sueur, puis par un autre qui attendait son tour. J’ai fini avec une bite dans la bouche, une autre dans la chatte et une dernière dans le cul. Je me suis dégoûtée d’accepter ça, et plus encore d’aimer ça. J’ai joui, plusieurs fois, et à chaque fois il faisait sa tête de vainqueur.
    
    Dès le lendemain je suis partie à nouveau de son appartement et je suis allée me réfugier chez mon amie Céline. Je lui ai tout raconté contre la promesse de garder ça pour elle. J’avais besoin de parler, de me laisser aller, de dire les choses, tout. C’est elle qui m’a donné cette idée de partir loin, de voyager, de chercher à l’oublier. Mais vous voyez, quelquefois, il me manque. C’est pour ça que tout à l’heure je m’apprêtais à lui envoyer une lettre pour garder le contact, en espérant je ne sais quoi.
    
    Je n’ai rien à espérer, à part rencontrer un homme qui saura m’aimer. 
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