Fuir, ne pas revenir
Datte: 03/08/2021,
Catégories:
fh,
fhh,
hplusag,
profélève,
fsoumise,
hdomine,
facial,
Oral
double,
fsodo,
sm,
f+prof,
Auteur: Tito40, Source: Revebebe
... genoux devant lui, et je lui ai demandé de me baiser fort. Il est redevenu lui-même instantanément. Ses mains sur mes hanches, sa queue qui me pistonnait, le bruit de ses cuisses qui tapaient contre mes fesses, mes cheveux qu’il tirait, son pouce dans mon cul, mes seins qui se balançaient sous moi, la sueur qui coulait de nos corps, je le retrouvais tel qu’il était le plus à l’aise, bestial, vorace, tonique, cherchant à se faire le plus possible plaisir, sans penser à moi, juste à mon cul.
Deux jours plus tard, il est entré dans l’appartement avec un drôle d’air. Quand je me suis approchée de lui pour tenter de le serrer contre moi, il s’est écarté. Il avait l’air de quelqu’un qui veut dire quelque chose et qui n’y parvient pas. « Je ne peux pas t’offrir ce que tu veux. » a-t-il balbutié avant de se retourner pour ouvrir la porte. J’ai cru qu’il allait repartir mais non, dans l’entrée, il y avait son copain de l’autre soir, celui qui m’avait fait jouir devant lui. J’ai compris. J’ai pleuré. Il n’y avait pas la vieille salope cette fois, juste son pote.
Alain s’est approché de moi pendant qu’Hector s’asseyait dans le canapé. Il est passé derrière moi pour me coller. J’aurais voulu être ailleurs, m’enfuir, mais je suis restée interdite. Il a caressé mes hanches et mon ventre, puis a déboutonné mon chemisier pour toucher ma peau. Il avait les mains chaudes ; son souffle dans mon cou était humide, sensuel. Il m’a mordillé une oreille avant de dégrafer mon soutien-gorge et ...
... de prendre mes seins à pleines mains en se frottant contre moi. Hector me regardait dans les yeux, l’air triste. Je me suis laissée faire. Alain me caressait tendrement, puis il a mis sa main sur ma joue pour que je tourne mon visage et a léché mes lèvres. Nous nous sommes embrassés. J’aurais voulu que ce soit Hector qui me touche, Hector qui m’embrasse, Hector que me donne envie. Mais c’était lui, cet inconnu. Il sentait bon, sa langue était suave et lisse. J’ai eu envie de lui et je me suis laissée aller.
J’ai tout oublié quand il s’occupait de moi. Il n’a rien oublié de ce que j’aime, même pas de me demander si j’aimais ça. Il m’a caressée partout tendrement, de ses mains, de sa langue, de sa peau. Et il semblait apprécier que je le caresse moi aussi. J’ai pu le lécher, le sucer, me frotter contre lui, comme j’aime. Et Hector ne disait rien. Il ne bougeait pas. Il regardait toujours avec cet air figé de celui qui subit volontairement.
Puis Alain m’a prise. C’est entré tout seul tellement j’avais envie de sa grosse queue. C’est entré tout seul et j’ai vibré de le sentir bien au fond de moi. Comme une honnête femme, sur le dos, les cuisses écartées, il s’est insinué au plus profond de moi avec douceur. Il ne cessait de m’embrasser tendrement, de me caresser, de me sucer les tétons. Il ressortait doucement puis revenait sans que je m’y attende, tantôt d’un coup, tantôt par à-coups, et il alternait à merveille. J’ai senti mon plaisir monter, tout doucement, et nous avons ...