Fuir, ne pas revenir
Datte: 03/08/2021,
Catégories:
fh,
fhh,
hplusag,
profélève,
fsoumise,
hdomine,
facial,
Oral
double,
fsodo,
sm,
f+prof,
Auteur: Tito40, Source: Revebebe
... attention. Ce qui l’intéressait, c’était la femme offerte devant lui, que son pote burinait.
Je vous passe les détails. J’aurais dû partir en courant, ne plus jamais revenir. Au lieu de ça, je suis restée pétrifiée. J’ai vu le mec se retirer de la femme et Hector prendre aussitôt sa place. J’ai vu le mec arriver vers moi avec détermination, puis j’ai senti ses mains sur mes fesses. Il m’a décollée du sol pour me porter jusqu’au lit, et j’ai machinalement écarté les cuisses. Hector venait de me jeter un regard qui en disait long. Ce n’était pas une autorisation mais un ordre. Je me suis laissée faire. Au début en tout cas, et après j’ai participé. Le mec était très actif, très directif, bien membré, mais surtout très tendre. Lui, il m’a dit des mots doux en prenant ma chatte, puis d’autres plus doux encore en prenant mon cul. Il m’a fait l’amour pendant qu’Hector défonçait la femme facile. J’étais en colère, en rage même, si bien que j’ai tenu à ce qu’il sache que je prenais du plaisir et j’ai crié, crié (pas « Aline »…). Il me regardait dans les yeux quand j’ai joui la première fois, et je le lui ai dit. Il a craché dans la chatte de la femme en même temps. Coïncidence, ou relation de cause à effet ? J’ai eu un doute. Et juste derrière j’ai eu droit à une affreuse crise de jalousie. Il a foutu tout le monde dehors, sauf moi, et m’en a fait voir de toutes les couleurs. Il avait, dit-il, voulu vérifier si je lui étais fidèle. C’était un test, et j’avais échoué. S’il était ...
... peu tendre d’habitude, ce soir-là il ne le fut pas un instant. Il s’est déchaîné dans mon cul à m’en faire pleurer de douleur avant de cracher sa gourme et de foutre le camp. Seule dans cet appartement cossu, j’ai failli sombrer dans la déprime. Et, en même temps, cette soirée ne m’avait pas totalement déplu.
En cours, à la fac, il m’ignorait somptueusement. Moi je voulais l’épater, et je bossais comme une malade. C’est difficile de garder un secret comme le mien, mais je vous assure que ni mes parents ni mes amis n’étaient au courant. Il n’y avait plus que la fac, les courses de temps et temps, et la baise. Je tournais en rond, je me sentais sale. Et pourtant quand je savais qu’il allait venir, je mouillais comme une folle. Je savais à l’avance que je n’aurais pas ce que je voulais, mais que sans doute le fait qu’il me prive, qu’il me frustre, qu’il m’humilie, tout cela concourrait à mon plaisir.
Mais je le lui disais de plus en plus souvent, jusqu’au jour où je me suis refusée. Je voulais de la tendresse, qu’il me caresse, qu’il me prenne dans ses bras, qu’il m’embrasse, qu’il me dise des choses gentilles. Il a semblé abasourdi, puis m’a avoué qu’il essaierait, que ce n’était pas trop son truc, qu’il me comprenait « un peu ». Maladroitement il a en effet tenté de se montrer doux et tendre, et de me dire quelques gentillesses. Mais c’état surfait, préparé, artificiel, alors quand il était entre mes cuisses à me baiser tout doucement, je me suis dégagée pour me mettre à ...