1. Je ne vous l'ai jamais dit ?


    Datte: 25/07/2021, Catégories: h, fh, frousses, rousseurs, Collègues / Travail fépilée, vacances, hotel, amour, Masturbation intermast, Oral pénétratio, fdanus, confession, amourpass, Auteur: Chuttt, Source: Revebebe

    ... tour, je m’inclinai vers elle. Je vis renaître dans ses yeux une lueur d’espoir et nos lèvres se joignirent. Ce fut un baiser long et langoureux. Elle m’étreignit. Je sentais ses mains me caresser le dos. Chaque caresse m’électrisait. Son baiser m’envahit, sa langue au goût légèrement sucré me possédait. J’étais conquis. Au diable Bastien !
    
    Nous restâmes quelques minutes à nous enlacer, nous embrasser, jusqu’à ce qu’un vigile surgisse au coin d’un couloir et reste en retrait à nous observer. Carole ouvrit la porte de sa chambre et je ne pus résister à son invitation à entrer. Qui aurait pu résister ?
    
    La porte claqua derrière nous. Nos lèvres ne se séparaient plus. Nous progressions tant bien que mal en direction de la chambre à la lumière de la lune traversant les rideaux donnant à ce moment divin une ambiance enchanteresse.
    
    J’étais transporté. Je butai sur le montant du lit, mais Carole continua sa progression, me déséquilibrant. Lorsque nos deux corps tombèrent comme soudés l’un contre l’autre, j’eus l’impression de planer. Allongé sur le dos, Carole à califourchon sur moi, ses lèvres toujours collées aux miennes, j’avais l’impression d’être en apesanteur.
    
    La frénésie de nos caresses, la voracité de nos baisers ne nous firent pas réaliser que nous n’étions pas seuls dans la pièce. Du coin de l’œil, je perçus à peine une ombre qui se déplaçait derrière Carole, se dirigeant vers la sortie de la pièce. Lorsque la porte claqua, nous faisant sursauter, je réalisai ...
    ... alors que l’ombre n’était autre que Bastien qui avait réussi à s’introduire « je ne sais comment » dans la chambre de Carole et qui, assistant au spectacle de nos étreintes passionnées, dut se faire une raison.
    
    Je vis de la peur et du soulagement dans le regard que me lança Carole. Et ce regard me transforma à tout jamais, je me noyais dans ces yeux magnifiques. Puis, nous nous sommes mis à rire ensemble.
    
    À ce moment, je sus que c’était elle, l’amour de vie. Celui qui nous fait perdre la raison. Celui que certains passent leur vie entière à chercher et ne trouvent jamais. Et je m’abandonnai…
    
    La surprise passée, nos corps brûlants réclamaient ces caresses si subitement interrompues. Nos étreintes reprirent de plus belle. Nos mains s’insinuèrent sous nos vêtements à la recherche de la moindre parcelle de peau à caresser.
    
    Très vite, nous y étions à l’étroit. Sans décoller nos lèvres, sans arracher nos langues de nos bouches, nos mains s’activaient à la recherche de chaque bouton à libérer. Son chemisier entièrement déboutonné, je passai mes mains brûlantes sur ce corps incandescent, remontant jusqu’à ses épaules, faisant glisser son chemisier dans son dos, l’obligeant un instant à me lâcher pour se débarrasser de ce tissu encombrant.
    
    Toujours sur le dos, elle m’obligea à sortir mes bras un à un de ma chemisette. À peine un bras libéré, que ma main se précipitait vers son sein le plus proche. Je sentais son téton durcir à travers le tissu comme pour manifester son ...
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