1. Je ne vous l'ai jamais dit ?


    Datte: 25/07/2021, Catégories: h, fh, frousses, rousseurs, Collègues / Travail fépilée, vacances, hotel, amour, Masturbation intermast, Oral pénétratio, fdanus, confession, amourpass, Auteur: Chuttt, Source: Revebebe

    ... plutôt s’il ne pensait pas demander un « petit service » à Sabine quand il était tombé sur moi.
    
    Je crois bien qu’il m’a demandé de démissionner pour pouvoir l’avoir à lui seul.
    
    Je sortis effondré du bureau. Je tombai sur Isabelle à qui j’avais toujours tout dit sauf pour Sabine. Je fus contraint de lui expliquer la situation. Elle me fit une scène de jalousie. Elle n’en revenait pas que j’avais pu baiser avec une autre alors que je lui disais tout le temps que je l’aimais.
    
    Je trouvai cela égoïste de sa part alors que nous n’avions jamais couché ensemble sous prétexte de préserver sa dignité vis-à-vis de son mari. Aurais-je dû continuer à vivre cet amour platonique et n’avoir que ma main pour satisfaire ma libido ?
    
    Je n’eus finalement pas d’autre choix que de partir, brisé de devoir quitter mes deux beautés.
    
    Je remis ma démission, qui fut acceptée promptement. Je pus négocier une rupture conventionnée et, avec mon arriéré de congés, je partis avec un bon petit pactole, de quoi me laisser le temps de voir venir.
    
    Et puis, lundi dernier, j’ai eu un entretien pour un nouveau poste. J’ai tout de suite bien accroché avec Alain, le chef de service qui m’a reçu. Il m’a très vite rappelé pour me dire que je l’intéressais. Il ...
    ... était impatient de me présenter à sa DRH pour signer mon contrat.
    
    Mais ce n’est pas très bien payé, c’est à deux heures de transport de chez moi. L’enfer, quoi.
    
    Malgré tout, je me suis laissé tenter pour voir ce qu’il me proposait en termes d’avantages, et j’ai donc accepté de rencontrer la DRH.
    
    J’arrivai cinq minutes en avance, Alain m’accueillit avec un enthousiasme à peine dissimulé, le sourire aux lèvres. Je fis mine d’être content d’être là, j’esquissai un sourire poli. Il m’emmena lui-même au bureau des ressources humaines, nous entrâmes dans le bureau et il commença à me présenter.
    
    Et je restai sans voix. Était-ce le soleil rasant face à moi qui m’éblouissait ou était-ce cette vision sublimée de cette femme, en tailleur strict accentuant une silhouette gracieuse, de magnifiques seins agréablement dissimulés par sa longue chevelure rousse ?
    
    Sonia, c’était son prénom.
    
    +++OOO+++
    
    Cela fait deux heures que j’erre, l’air hagard, dans les couloirs du métro, un nouveau contrat en poche, avec un salaire de misère, un temps de trajet inimaginable, sans aucun autre avantage en nature que d’avoir pour moi tout seul un bureau sans fenêtre.
    
    Sans aucun autre avantage ?
    
    Je ne vous l’ai jamais dit ? J’aime les rousses. 
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