1. Je ne vous l'ai jamais dit ?


    Datte: 25/07/2021, Catégories: h, fh, frousses, rousseurs, Collègues / Travail fépilée, vacances, hotel, amour, Masturbation intermast, Oral pénétratio, fdanus, confession, amourpass, Auteur: Chuttt, Source: Revebebe

    ... attirait mon regard et ses yeux verts que j’apercevais à la dérobée quand elle me jetait quelques coups d’œil ne cessaient de m’envoûter. Je tombai sous le charme, mais incapable de faire quoi que ce soit qui me semblait un tant soit peu intelligent. Et puis, connaissant les intentions de Bastien, je ne me voyais pas jouer au rival amoureux.
    
    Ah, les contrariétés des voyages à l’étranger ! Voilà que le lendemain, la quasi-totalité de notre groupe fut littéralement « décimée » par la turista. Je sais, ce n’est pas très romantique. Mais c’est d’abord comme cela que j’interprétai le fait que Bastien s’enferma dans sa chambre, la mine contrariée, refusant même de rejoindre la plupart des « résistants » au dîner. Tous ensemble, nous rigolâmes beaucoup des malheurs de nos partenaires et je pris beaucoup de plaisir à entendre le rire de Carole.
    
    À la fin du repas, elle s’approcha de moi et me dit qu’elle se sentait faible, qu’elle pensait être la prochaine sur la liste déjà longue des malades. Voyant que j’avais l’air d’être en pleine forme, elle me demanda, presque en s’excusant, de la raccompagner à sa chambre, craignant de défaillir en chemin. Alors que mon cœur faisait des bonds dans ma poitrine, j’essayai de rester calme et j’acceptai.
    
    Nous marchions dans les jardins de l’hôtel côte à côte. Nos bras nus ne cessaient de s’effleurer, chacun de ces contacts était pour moi une source de plaisir et à chaque fois que dans notre mouvement, nos bras s’éloignaient au point de ne ...
    ... plus se toucher, au pas suivant, le contact se faisait alors plus pressant comme si l’éphémère éloignement nous incitait à nous rapprocher plus encore.
    
    C’est sur le chemin que j’appris la raison de la mine renfrognée de Bastien car Carole m’expliqua qu’il lui avait fait des avances et que malgré son refus, il n’avait fait qu’insister au point d’en devenir désagréable, voire presque menaçant. La raison pour laquelle elle m’avait demandé de la raccompagner était, en réalité, la crainte d’une tentative désespérée. J’étais partagé entre la colère envers Bastien d’avoir été désagréable avec la belle, et la fierté, pour ne pas dire le pied total, qu’elle m’ait demandé, à moi, de la raccompagner.
    
    Arrivés à la porte de sa chambre, tout en s’approchant de moi, elle m’avoua également d’une voix douce qui me fit fondre combien elle m’appréciait et qu’elle aurait voulu que nous soyons plus que de simples amis. J’étais figé. Des émotions contradictoires s’entrechoquaient dans ma tête. J’étais tiraillé entre l’envie de la prendre dans mes bras et de la couvrir de baisers et le sentiment de trahison vis-à-vis de Bastien que provoquait cette situation.
    
    Son visage se rapprocha au point de ne plus être qu’à quelques centimètres du mien sans que je m’en rende compte, toujours en train de gamberger. Elle sentit mon hésitation et se détourna craignant un refus de ma part. Je réalisai soudain que je risquais de passer à côté de quelque chose de magique.
    
    Je repris mes esprits, et à mon ...
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