1. Je ne vous l'ai jamais dit ?


    Datte: 25/07/2021, Catégories: h, fh, frousses, rousseurs, Collègues / Travail fépilée, vacances, hotel, amour, Masturbation intermast, Oral pénétratio, fdanus, confession, amourpass, Auteur: Chuttt, Source: Revebebe

    ... envie de se libérer de ce carcan étroit. Je ne me fis pas prier et alors que mon deuxième bras était toujours emprisonné dans mon vêtement et que ma langue continuait de se lier avec la sienne, d’un pincement, je dégrafai son soutien-gorge libérant les plus beaux seins qu’il me serait donné de voir. Je me relevai pour faciliter la libération de mon deuxième bras.
    
    À peine débarrassé de ce tissu immobilisant que Carole me repoussa sur le lit, ce qui me permit enfin de la voir. Je crus défaillir. Comment n’avais-je pu la remarquer ? Elle était si belle et à la lueur de la lune, cette vision féerique menaçait de me rendre fou. Fébrilement, mes mains se portèrent sur son corps comme pour sentir que je ne rêvais pas.
    
    Mes caresses semblaient la transporter, son bassin commençait à onduler. Je sentais la chaleur de son corps se propager vers mon sexe qui depuis bien longtemps se sentait à l’étroit dans mon caleçon. D’une main, j’attrapai le dernier bouton de son short qui m’avait résisté jusqu’ici, de l’autre, je pus enfin étendre mes caresses au-delà des limites, jusque-là non atteintes, me dirigeant sur ses fesses et se glissant sous la dentelle de sa culotte.
    
    Je n’en pouvais plus. Jamais je n’avais encore connu de femme, et Carole gémissait et ondulait de plus en plus fort sur mon sexe qui menaçait d’exploser à tout moment. Je perdais la notion du temps et de l’espace, je ne comprenais plus ce qu’il m’arrivait mais dans le même temps, je savais que si je ne faisais rien, ...
    ... tout allait se terminer, là, dans mon caleçon. Il fallait que je fasse quelque chose.
    
    J’entrepris de rouler vers le milieu du lit, entraînant Carole, l’obligeant à se mettre sur le dos, me facilitant l’accès aux derniers vêtements qu’elle portait encore. Je m’empressai de tirer sur son short et retirer sa culotte. L’effeuillage terminé, l’espace d’un instant, je restai sans réaction à contempler ce corps sublime dans son intégralité. J’aurais pu rester des heures à la regarder.
    
    N’y tenant plus, elle se releva pour m’arracher avec autorité mes derniers bouts de tissu, libérant enfin ma verge qui ne demandait que cela. J’approchai alors doucement ma main vers son sexe brûlant et complètement détrempé, elle gémit immédiatement et me supplia de venir en elle.
    
    J’étais bouleversé, ma raison m’avait fui, et je ne me fis pas prier oubliant au passage de nous protéger. Au plus profond de moi, quelque chose me lançait naïvement qu’elle ne risquait rien avec moi puisqu’elle était la première.
    
    Oublié le fait que j’ignorais quelles étaient ses habitudes sexuelles, oublié le fait qu’elle pouvait être porteuse de maladies, oublié le fait que ce moment magique puisse aboutir à la création d’une vie. Oubliés tous les sacro-saints principes. Ne comptait que l’instant présent, le moment magique où je me suis approché, je me suis glissé entre ses jambes et nous nous sommes unis.
    
    Nul besoin de préliminaires, nous étions bouillants comme des charbons ardents, humides comme le gazon ...
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