1. Où mon sort s'améliore...


    Datte: 19/07/2021, Catégories: fh, fffh, jeunes, Inceste / Tabou magasin, anniversai, intermast, Auteur: Benoberna, Source: Revebebe

    ... le monde s’installa dans un coin et le pelotage se poursuivit avec manifestement le plus grand intérêt des deux partenaires. Je sentis que la nuit allait être longue et décidai de m’esquiver n’ayant pas le cœur à draguer même si l’alcool m’avait un peu grisé. Rentré seul, je me repassai le film où je voyais des mains parcourir le corps de mes cousines. Ces images provoquaient chez moi un peu de rage, mais aussi une belle excitation qui fit que ma petite masturbation ne fut pas désagréable.
    
    Au petit matin, retour des filles toutes guillerettes :
    
    — Tu ne t’es pas ennuyé ?
    
    À poil, douche et petit déjeuner avant de retourner à nos chères études.
    
    — C’étaient des copains de la fac. On n’est pas des filles à se faire sauter comme ça. Il y a longtemps qu’on les connaît.
    
    Me voilà en partie rassuré. Petit déjeuner donc où, comme bien souvent, semblent planer au-dessus de la table, trois paires de seins dont la vue est et sera toujours pour moi un bonheur absolu.
    
    — Ne sois pas jaloux, on dort plus souvent avec toi qu’avec eux. Ce soir, tu auras une surprise. On change le tour de rôle et tu ne sauras pas laquelle couchera avec toi, car elle ne viendra que lorsque nous aurons éteint. Tu n’auras que tes mains pour deviner.
    
    * * * * *
    
    Cette idée me mit de bonne humeur pour la journée. Prêt avant elles, je leur fis la bise et m’en fus étudier.
    
    Et effectivement les choses se passèrent comme prévu. De bonne heure, la nuit précédente ayant été courte, les filles ...
    ... m’envoyèrent me coucher. Les lumières éteintes, l’une d’elle se glissa dans le lit, nue évidemment.
    
    — Tu n’auras que tes mains, m’avaient-elles dit.
    
    Je fis allonger sur le dos ma visiteuse et rabattis totalement les draps. Et je me mis à couvrir de baisers ce corps, que bien sûr, je connaissais, mais que je ne reconnaissais pas, commençant par les doigts de pieds, remontant sur le front, m’attardant sur un sein, revenant à l’intérieur des cuisses, le parcourant très vite mais avec la plus grande douceur afin d’agacer au maximum cette cousine inconnue. Je sentais bien que la succession de petits baisers déposés de la cheville à l’aine, amenant ma joue à toucher ses poils, ne la laissait pas indifférente, d’autant plus que, écartant ses jambes au maximum, j’entreprenais aussitôt les mêmes baisers sur son autre jambe pour finir par sa toison que j’écrasais de mes lèvres. Je sentis qu’elle n’était pas indifférente lorsque, revenant à sa poitrine, je découvris ses tétons dressés que je m’empressais de saisir entre mes dents, les mordillant, les suçant, les faisant rouler entre mes lèvres.
    
    — Tu n’auras que tes mains !
    
    Je ne les avais pas encore utilisées ; je n’avais certes pas reconnu laquelle de mes cousines partageait mon lit mais, sans celles-ci, j’étais ravi d’avoir déjà passablement excité celle-là. Et quel intérêt avais-je à la reconnaître ? Aucun ! Je profitais simplement du plaisir de caresser un corps que je connaissais bien et je savais que cette affaire se ...
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