1. Où mon sort s'améliore...


    Datte: 19/07/2021, Catégories: fh, fffh, jeunes, Inceste / Tabou magasin, anniversai, intermast, Auteur: Benoberna, Source: Revebebe

    ... Mais nous nous retournions et nous endormions.
    
    Nous avions un principe auquel aucun de nous ne dérogea : ne pas ramener de petit(e) ami(e) à la maison. C’était notre cocon secret et nous avions plaisir à ne nous y retrouver qu’entre nous. Nous avions chacun nos flirts, nos copines ou nos copains, avec lesquels s’établirent des liaisons plus ou moins poussées ou plus ou moins longues et régulières. Il arrivait que tel ou telle ne rentre pas, mais les trois autres savaient qu’une histoire était en cours de consommation et nous ne devions pas nous inquiéter. Il était évident que mes cousines, sensuelles comme je les connaissais, ne pouvaient se satisfaire des caresses qu’elles acceptaient que je leur prodigue. Elles avaient besoin de rapports beaucoup plus consommés, de vrais amants, et elles ne s’en privaient pas. J’eus également quelques aventures avec des filles qui m’accordaient fort heureusement ce que mes tendres cousines n’acceptaient pas de moi. Il y a des jours où leurs prestations devenaient de salubrité publique tant j’avais été excité par mes trois colocataires. J’avais absolument besoin de ces rapports qui me permettaient de ne pas violer celles qui jouaient de mes nerfs et de mon corps. À la réflexion, je me demande comment j’ai pu résister à cette tentation. Certainement parce que je savais qu’un jour peut-être… Et puis elles étaient mes tendres cousines qui savaient qu’elles pouvaient disposer de moi à leur guise, certaines que je ne dépasserais jamais les ...
    ... limites qu’elles établiraient.
    
    * * * * *
    
    Nous ne sortions que rarement ensemble, mais ce soir, après un repas un peu arrosé, mes cousines décidèrent de m’emmener dans une boîte qu’elles avaient découverte et où elles faisaient bien souvent des rencontres qui se terminaient dans la voiture ou le lit du garçon. Effectivement, lorsque nous arrivâmes, elles eurent immédiatement un succès fou. Il faut dire qu’elles avaient sorti le grand jeu, mini jupe et tee-shirt moulant sans soutien-gorge évidemment. Avaient-elles seulement une culotte ?
    
    Elles semblaient connaître tout le monde et tout le monde les connaissait, mais personne ne sembla remarquer ma présence et elles m’oublièrent bien vite. Des slows, comme on en passait à l’époque, attirèrent la foule sur la piste et mes trois cousines ne furent pas les dernières à trouver un cavalier. De ma place, à l’abri des regards, j’observais, je surveillais celles dont, malgré moi, j’étais jaloux. Et ma jalousie fut rapidement mise à rude épreuve. La danse tourna rapidement en séance de pelotage, un garçon ayant rapidement glissé sa main sous un tee-shirt, caressant une poitrine, un autre embrassant à pleine bouche et un troisième, glissant une jambe entre les cuisses de l’une d’elles, fit remonter sa jupe : ce qui me rassura, c’est qu’elle avait une culotte que sa main caressait, essayant de glisser sous le tissu vers des trésors que je connaissais bien mais qui, ce soir, allaient être visités par d’autres. La danse terminée, tout ...
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