1. Où mon sort s'améliore...


    Datte: 19/07/2021, Catégories: fh, fffh, jeunes, Inceste / Tabou magasin, anniversai, intermast, Auteur: Benoberna, Source: Revebebe

    ... Martine commença à pousser de profonds soupirs, et de petits gémissements, qui devinrent des plaintes, puis des cris. Nous nous croyions seuls mais nos cousines, dans la chambre voisine, comprirent rapidement ce qu’il se passait.
    
    — On peut voir ?
    
    La lumière venait de s’allumer, éclairant un tableau où un cousin amène sa cousine à l’orgasme avec ses doigts. Nous étions regardés ! Et alors ? Il y a longtemps qu’il n’y avait pas de tabous dans notre cousinade mais là, nous étions en train de faire sauter une barrière. Pendant que je poursuivais mes agaceries que manifestement elle appréciait, Martine se saisit de mon sexe et se mit à le frictionner tant et si bien que nous explosâmes ensemble, elle inondant mes doigts, et moi souillant notre lit. Mais nous en étions restés à des contacts uniquement manuels, sans rien nous dire ou nous interdire, mais implicitement d’accord sur ceci.
    
    — Il va falloir s’organiser, les filles, dit Marie-France, frustrée d’avoir vu aujourd’hui ses deux cousines s’envoyer en l’air avec celui qui était aussi son cousin à elle.
    — À partir de demain, nous dormirons à tour de rôle avec toi, me dit-elle.
    — Qu’en pensez-vous les filles ?
    
    Toutes furent d’accord, moi aussi d’ailleurs, même si je me rendais compte que, depuis toutes ces années, j’étais pour elle un jouet collectif. Peu m’importait en fait puisque j’y trouvais largement mon affaire. Et ainsi fut fait. Je changeais tous les soirs de cousine, les deux autres dormant sagement ...
    ... ensemble, dans la chambre à côté. Elles étaient si ressemblantes et pourtant si différentes, réagissant, chacune à sa façon, aux gestes que je reproduisais chaque soir, mais que j’adaptais rapidement à chacune. La seule manière de me soulager qu’elles acceptaient toutes les trois, ne faisait appel qu’à leurs mains, même si j’avais droit quelques fois à de furtifs baisers sur mes bourses, ma verge ou sur le gland ; mais jamais plus loin. L’usage de la bouche restait interdit. Je n’avais jamais obtenu de lécher leur sexe comme elles n’avaient jamais voulu prendre le mien dans leur bouche. Et nous ne nous étions jamais embrassé, bouche à bouche. Je crois que, ni les uns ni les autres, nous ne l’avions souhaité.
    
    Nous n’étions pas amoureux, nous étions simplement complices de jeux érotiques et nos bouches étaient réservées à nos amis respectifs. Et c’était très bien ainsi. J’aurais, bien sûr, aimé les pénétrer avec autre chose que mes doigts, mon sexe se serait volontiers proposé. Cela ne se pouvait pas, sans que je n’aie jamais essuyé un refus, simplement je pense n’avoir jamais seulement demandé, sachant très bien que je devais me soumettre à la volonté de mes cousines et que ce seraient elles qui décideraient du jour où cela me serait accordé, si cela devait l’être. Même si parfois, dormant avec mon ventre contre leur dos, mon sexe a plusieurs fois cherché à se frayer un passage entre leurs cuisses, touchant les lèvres et écartant les poils, tentant manifestement ma partenaire. ...
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