1. Où mon sort s'améliore...


    Datte: 19/07/2021, Catégories: fh, fffh, jeunes, Inceste / Tabou magasin, anniversai, intermast, Auteur: Benoberna, Source: Revebebe

    Samedi, jour de courses. Nous étions tous les quatre au super-hyper, moi poussant le chariot, les filles le remplissant. Nous passâmes devant le rayon lingerie, les filles sachant depuis longtemps que j’aimais beaucoup ça. Nous étions peu nombreux en ce début d’après-midi caniculaire.
    
    — Vous devriez essayer ceci, leur dis-je.
    — Pourquoi faire ? répondirent-elles en cœur.
    
    Et se dirigeant toutes les trois vers l’angle de la boutique, moi les ayant suivies, elles s’accroupirent ensemble, écartèrent leurs genoux, et me présentèrent en cœur leurs trois minous nus.
    
    — Levez-vous, on va vous voir…
    
    Elles se levèrent en effet et nous poursuivîmes nos emplettes.
    
    — Ça t’a plu ? me demanda l’une d’elles.
    — C’était un petit cadeau pour ton anniversaire.
    — Merci les filles, leur répondis-je, leur faisant à chacune trois bises fraternelles et très sincères.
    
    Le caddie vidé dans le coffre, je m’installai au volant.
    
    — Oh le goujat ! Et la galanterie ? Tu pourrais nous tenir la porte.
    
    Ce que je fis et j’en fus bien récompensé, chacune d’elles prenant son temps, relevant bien sa jupe et écartant au maximum les jambes pour m’offrir individuellement ce qu’elles m’avaient montré collectivement. Je constatais que ce petit manège les avait quelque peu excitées. J’en fis la réflexion à ma passagère avant qui me répondis :
    
    — Tu crois ? tout en remontant sa jupe et glissant un doigt à un endroit que je ne pus voir, occupé à conduire prudemment dans les embouteillages.
    
    Ce ...
    ... doigt sous mon nez, puis dans ma bouche me prouva que je ne m’étais pas trompé. Je ne vous dis pas l’état de mon bermuda. Arrivés à l’appartement, les courses rangées, je dis aux filles :
    
    — Vous exagérez, regardez dans quel état vous m’avez mis.
    — Cousin, tout à l’heure, c’était pour te préparer à ton cadeau d’anniversaire.
    — Nous avons du mal à supporter de t’entendre te masturber dans les toilettes ; ce soir, ça va être ta fête.
    
    En un tournemain, elles se retrouvèrent nues, m’attrapèrent et me jetèrent sur le lit. En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, je fus dépouillé de mes vêtements et couché sur le dos. Mes trois cousines, du bout de leurs doigts, parcouraient mon corps, pieds, chevilles, etc… Les cercles concentriques de leurs frôlements ayant pour centre mon pénis dressé, elles finirent par s’en rapprocher. M’écartant les jambes, l’une d’elles glissa un doigt vers mon anus. Je crus recevoir une décharge électrique lorsque celui-ci exerça une légère pression. Une sensation bizarre sur mon torse me fit lever la tête. C’était leurs cheveux qui me frôlaient puis ce furent de petits baisers qui couvrirent mon corps, partout en même temps, sur les mollets, sur les cuisses, sur le ventre. Je crus mourir ce jour-là, surtout lorsque ces bécots s’approchèrent de ce qui était le centre d’intérêt de la soirée. Trois bouches, sur mes bourses, sur ma verge, sur mon ventre, quelle extase. Mais aucune ne me prit dans sa bouche. Soudain une voix :
    
    — Tu as senti et ...
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