1. Où mon sort s'améliore...


    Datte: 19/07/2021, Catégories: fh, fffh, jeunes, Inceste / Tabou magasin, anniversai, intermast, Auteur: Benoberna, Source: Revebebe

    ... sucé mon doigt tout à l’heure, tu vas sentir maintenant l’origine de l’odeur.
    
    Je vis alors deux jambes se positionner de chaque côté de ma tête et, tout la haut, ce que j’aimais tant, un sexe ouvert. Pliant les jambes, ma cousine amena son sexe à quelques centimètres de mon nez et de ma bouche.
    
    — Interdiction de toucher, me dit-elle.
    
    Ouah ! Quel plaisir ! Du bout de ma langue je réussissais ce qu’elle acceptait de moi, toucher ses poils gorgés d’un liquide que j’aurais voulu plus abondant. En de petits gestes brefs, elle se baissait subitement davantage et mon nez se trouvait soudain plongé quelques secondes entre ses lèvres. Je sentais que ce liquide coulait sur mes joues. Pendant ce temps, l’autre partie de mon corps était en permanence agacé par de petits contacts qui me rendaient fou. Ce traitement dura sûrement plus d’une heure et je suppliais mes tortionnaires de me terminer.
    
    — Tu vas comparer nos odeurs, me dirent-elles, venant à tour de rôle placer leurs sexes sur mon visage.
    
    Je ne savais plus qui était qui, qui je préférais. Je les aimais toutes les trois comme un fou. Et enfin, une main entreprit de me soulager. L’explosion fut terrible. J’avais l’impression de me vider et j’eus du mal à reprendre mes esprits.
    
    — Bon anniversaire, cousin, me dirent-elles en guise de conclusion.
    
    Une bouteille de champagne clôtura les festivités après une bonne douche.
    
    Je venais d’avoir dix huit ans.
    
    * * * * *
    
    Un soir Evelyne rentra, guillerette, ...
    ... sautillante, en un mot heureuse.
    
    — T’es-tu bien amusée ? lui demanda-t-on.
    
    Sans un mot, elle souleva sa jupe et sans se presser, quitta sa culotte, dégageant une jambe puis l’autre. Elle me la mit alors sous le nez :
    
    — Dis-leur si je me suis bien amusée !
    
    Elle s’était en effet bien amusée, l’odeur et la consistance de son fond de culotte en attestait.
    
    — J’ai pris un pied terrible, dit-elle.
    
    Mon fond inconscient de jalousie jaillit d’un seul coup :
    
    — Vas te laver, lui dis-je.
    — Mon cousin me veut bien propre, qu’il vienne donc me laver lui-même, me répondit-t-elle, me semblant bien excitée.
    
    Et elle se dirigea vers la salle de bain, nous laissant, moi reniflant sa culotte, mes cousines un peu surprises.
    
    — Alors cousin, je t’attends.
    
    Que faire ? Cette culotte sous le nez ne me laissait pas indifférent, mais cette demande me paralysait un peu. Au deuxième appel, je la rejoignis. Le jet de la douche sur la tête, coulant sur son corps, l’embellissait encore.
    
    — À toi, cousin, me dit-elle, s’accroupissant, écartant les jambes et me donnant la pomme de douche et le savon.
    
    Après quelques instants d’hésitation, je dirigeai le jet de la douche vers son sexe.
    
    — Savonne bien, cousin, si tu veux que je sois bien propre.
    
    Je pris donc le savon, m’en frictionnai la main et me mis à laver consciencieusement ma petite cousine. Pas un pli, pas un creux ne fut oublié, devant et derrière. J’insistai bien sur sa rosette, faisant tourner mon doigt en exerçant une ...
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