1. Souvenirs de jeunesse


    Datte: 18/07/2021, Catégories: hh, grp, uniforme, grossexe, Oral hdanus, hsodo, aliments, traduction, Auteur: Edouard Roubi gnolle, Source: Revebebe

    ... j’allais sonner à la porte de Guy. On aurait dit qu’il m’attendait. En fait, David l’avait prévenu. Il devait avoir une trentaine d’années, et tout de suite me prévint qu’il n’aimait que sucer.
    
    Je lui répondis que je le comprenais et que je partageais pleinement ses préférences. À quoi il me promit de me présenter quelques-uns de ses amis habituels.
    
    Sur ces bonnes paroles, il me fit asseoir sur un divan et à genoux devant moi commença une fellation extraordinairement bandante. Sachant prévenir l’orgasme il retardait l’éjaculation, puis, au moment qu’il choisissait pour sa dégustation, me plongeait deux doigts dans l’anus et joues creusées avalait ma jouissance à petits coups.
    
    Bien entendu, je lui proposai de lui rendre la pareille, mais il déclina en me disant qu’à ma prochaine visite…
    
    En fait, une semaine après, malgré sa promesse, c’est encore moi qui étais assis sur le divan. De toute façon, c’était très agréable.
    
    Mais, soudain il me sembla voir bouger le rideau. Guy, à genoux s’évertuait à me procurer les plus agréables sensations par sa bouche, ses lèvres, sa langue et ses doigts. Une fois de plus le rideau bougea et cette fois, m’arrachant aux délices de la fellation, je me relevai brusquement pour aller découvrir derrière le rideau un Antillais voyeur en train de se branler.
    
    Il n’avait pas, comme la réputation le prétend à tort, un pénis d’éléphant, mais tout de même d’une taille impressionnante. Les deux partenaires, confus d’avoir été surpris, ...
    ... tentaient des explications peu convaincantes, desquelles je compris que, contrairement à ce qu’il prétendait, mon ami journaliste se faisait bel et bien sodomiser par cet engin, lequel avait besoin d’un petit spectacle dont j’étais l’acteur pour se mettre en forme.
    
    Sans dire un mot, je renfilais ma chemisette et mon short.
    
    Je m’apprêtais à prendre la porte quand, en pleurnichant, Guy s’interposa en me demandant pardon, et finalement j’acceptais de me rasseoir pour trinquer à la santé de tous les pédés du monde.
    
    Du coup l’ami Guy, pour détendre l’atmosphère, entreprit de ranimer le long boudin qui pendait, flasques, entre les cuisses de son ami. Et alors, pris d’une subite inspiration - il est vrai que j’ai toujours eu un faible pour les verges débandées - j’écartais la main qui la branlait et, m’agenouillant, je la saisis pour la sentir reprendre toute sa vigueur. J’espérais sentir les gros testicules se déverser dans ma bouche.
    
    Mais l’autre petite salope intervint, couché sur le dos, offrant son anus distendu :
    
    — Viens me prendre, viens vite me prendre !
    
    Et sans hésitation l’Antillais m’abandonna pour aller fourgonner le fondement de son amant. Émoustillé par le spectacle je me déshabillais, une fois de plus, et aussitôt que la grosse verge se fut retirée, sans en demander la permission je pris la place toute chaude et aussi large que le vagin d’une vieille pute pour ajouter une bonne ration à ce qui débordait déjà si abondamment.
    
    C’est alors que je fus ...
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