1. Souvenirs de jeunesse


    Datte: 18/07/2021, Catégories: hh, grp, uniforme, grossexe, Oral hdanus, hsodo, aliments, traduction, Auteur: Edouard Roubi gnolle, Source: Revebebe

    ... Victor dont le sourire béat et crispé sous les yeux à demi clos démontrait qu’il appréciait.
    
    Pendant la pause on commenta, bien entendu, cette nouvelle situation. David aux anges s’exclamait :
    
    — Vous vous rendez compte qu’il m’a sucé, mon petit chéri, et qu’il a avalé, tout avalé.
    — Alors, tu as aimé le goût ? me demanda Victor.
    — Oh, tu sais ! je n’ai guère eu le choix, ce salaud m’a eu par surprise, et tu sais bien qu’on ne parle pas la bouche pleine. C’est vrai que j’ai tout avalé, mais je crois que c’est à cause de l’excitation du moment et pas vraiment pour la saveur. Mais je crois bien que j’aimerais recommencer.
    
    Ils applaudirent en riant quand Victor me répondit :
    
    — Il ne te reste plus qu’à te faire défoncer la pastille pour devenir un professionnel.
    — Ça, c’est autre chose !
    — Oh ! Tu feras comme tout le monde, un jour ou l’autre tu découvriras que c’est agréable et que sans en faire une habitude comme ces deux pédés, on peut se faire ramoner de temps en temps.
    
    En fait j’en avais envie.
    
    Mes récentes expériences m’avaient démontré qu’un anus défoncé ne restait pas à bâiller, comme le prétendaient les mauvaises langues, mais que les chairs, au contraire, reprenaient rapidement leur place. Je savais qu’un dépucelage pouvait être douloureux. Même si tous me disaient que ce mauvais moment, qui ne durait que quelques secondes, était rapidement remplacé par un grand plaisir, je ne montrais aucun enthousiasme à essayer.
    
    Par contre, depuis bien ...
    ... longtemps, et bien avant que ma chère Asuncion ne m’absorbe dans son vagin complaisant, les bouts de crayon avaient fait place à des goulots de bouteilles ou des manches de tournevis.
    
    Mais, de là à être réellement sodomisé, il y avait une marge que je n’avais pas encore en vue de franchir. Pourtant… Je crois qu’avec un peu d’insistance je me serais laissé faire.
    
    Peut-être ai-je échappé à la tentation quand le marin, s’asseyant à califourchon sur les cuisses de Victor, voulut me faire une démonstration de la facilité avec laquelle il pouvait s’enfoncer d’un seul coup la totalité d’une verge bien tendue.
    
    Et quand je vis David, agenouillé, commencer une fellation, je n’ai pu me retenir de venir partager. Quand la jouissance arriva c’était David qui était en action. Il la bloqua à la base du pénis et s’étant rapidement retiré il me présenta le relais et, cette fois en connaissance de cause, je laissais ma bouche se remplir de la divine liqueur que je mâchais littéralement pour en apprécier toute la saveur avant de l’avaler à petites goulées. Et cette fois j’avouais y avoir pris un grand plaisir.
    
    Après cette fellation complète je sentais bien que je venais de franchir un tournant et que je ne reviendrais pas en arrière. J’avais encore le goût du sperme dans la bouche.
    
    Je ne revis pas Victor. Mais David m’avait donné l’adresse, à Dakar, d’un de ses amis journaliste qui, comme moi, adorait faire des pipes
    
    Donc quelques jours après mon affectation dans une batterie de DCA, ...
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