1. Souvenirs de jeunesse


    Datte: 18/07/2021, Catégories: hh, grp, uniforme, grossexe, Oral hdanus, hsodo, aliments, traduction, Auteur: Edouard Roubi gnolle, Source: Revebebe

    ... envoyé dans une station de reconnaissance anti-aérienne qui était commandée par un adjudant. Nous n’étions donc que deux Européens avec une demi-douzaine de tirailleurs. Nous faisions donc la popote ensemble. Dès le premier jour de notre installation, il me demanda si j’avais rencontré à Casablanca l’ami Victor. Je compris tout de suite que notre connaissance commune nous rapprocherait.
    
    Le boy venant débarrasser la table, il le congédia et lorsque nous fûmes tous les deux, me demanda quelles avaient été mes spécialités. Me précisant que, pour sa part, il était surtout passif ; ajoutant tristement que sa petite verge n’attirait pas les foules, mais que, quand il en avait l’occasion, il aimait bien un trou du cul pas trop élargi.
    
    J’ai tout de suite compris l’allusion et j’ai préféré détourner la conversation pour lui expliquer que, pour ma part, j’étais seulement actif, en y ajoutant mon goût pour la fellation.
    
    Nous étions assis côte à côte sur son lit de camp et je pris l’initiative d’enfiler une main dans la jambe de son short pour empoigner son appareil génétique que je jugeais suffisamment en forme pour, après l’avoir déculotté, le prendre entièrement dans la bouche jusqu’à la sentir le gland à l’entrée de ma gorge. Il ne tarda pas à éjaculer avec une abondance qui me prouva que la grosseur du tuyau n’est pas déterminante en l’affaire. Mais, comme j’étais resté sur ma faim je le fis se positionner à quatre pattes pour satisfaire ma lubricité.
    
    Pendant les ...
    ... quelques jours qui suivirent, on se livra à une diversité d’exercice qui n’avait rien à voir avec la détection des avions ennemis. Plusieurs fois il chercha à m’embrasser sur la bouche, mais à chaque fois je le repoussais énergiquement. Mais j’étais tombé sur un bon professeur qui me fit découvrir, entre autres choses fort intéressantes, que les tétons délicatement pincés provoquent d’agréables pulsions au pénis, ou que le doigt d’un ami, crochetant votre sphincter, était beaucoup plus agréable que le goulot d’une bouteille. Finalement au bout d’un mois - comme on dit : « on ne pensait plus qu’à ça » - et à tout bout de champ, à toute occasion, sans aller jusqu’à l’orgasme libérateur, il fallait que je lui en foute un petit coup ou que l’on se fasse une petite pipe.
    
    Ce qui fait que tout naturellement, ce qui devait arriver arriva et qu’un soir acceptant deux doigts enduits de cette pommade piquante et odorante qui est la spécialité du pays et qui, à cet endroit, a le pouvoir de faire s’épanouir votre corolle, j’en arrivais à lui dire dans un murmure étranglé :
    
    — Vas-y ! Baise-moi !
    
    Et ces deux mots me faisaient découvrir que le secret fondamental de ce plaisir hors normes était cette sensation de devenir une femelle soumise au désir du mâle.
    
    On peut toujours se sodomiser tout seul. Il ne manque pas d’objets fort ressemblants, sans compter tous ceux que l’on trouve dans la nature. Mais à l’instant où « l’homme » vous soumet et exige, c’est tout autre chose.
    
    Ce n’est ...
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