1. Souvenirs de jeunesse


    Datte: 18/07/2021, Catégories: hh, grp, uniforme, grossexe, Oral hdanus, hsodo, aliments, traduction, Auteur: Edouard Roubi gnolle, Source: Revebebe

    ... jusqu’au nombril - ce qui démontre que je pouvais en avoir peur - j’entrepris une légère masturbation. Mais cela me procura une émotion qui par la suite, s’est répétée chaque fois que j’ai entrepris de palper une verge, même indirectement, par exemple à travers un pantalon. C’est plus fort que moi, sentir cette chose vivante dans ma main, comme un petit oiseau, me fait immédiatement entrer en érection. Ce fut le cas ce jour-là et mon partenaire qui avait abandonné l’anus pour les testicules se rendit compte de ma disponibilité et se relevant il m’ordonna :
    
    — Maintenant ! Viens mon chéri ! Tu vas me défoncer. Ne me ménage pas. Viens ! baise-moi comme un arabe.
    
    Je ne sais pas comment baise un arabe mais en deux temps trois mouvements il était plié en deux, bras étendus sur une table les jambes écartées et je n’eus pas besoin d’un dessin pour savoir où il fallait me placer.
    
    Je dois reconnaître que cette initiation me procura une vive satisfaction et dans les semaines qui suivirent, ma réputation me valut une clientèle que je partageais avec mon ami Victor. Mais tout a une fin et on dut se préparer pour un séjour colonial qui pour moi était le Sénégal.
    
    David, sachant qu’il ne nous entendrait plus sonner à son luxueux domicile, nous offrit un repas d’adieu dans sa magnifique villa du boulevard d’Anfa où, après un excellent dîner, accompagné de quelques amusantes privautés, les quatre convives que nous étions se mirent tout à fait à l’aise, c’est-à-dire à poil, dans ...
    ... le petit salon attenant.
    
    Victor et son copain se prodiguaient des caresses préparatoires sur un divan, tandis que de l’autre côté de la petite table basse mon ami David se couchant sur le dos sur le tapis, voulut, comme la première fois que nous nous étions connus, s’offrir un dessert. Et tandis que sa langue me parcourait agréablement le scrotum, je n’eus pas cette fois de scrupules à céder à la tentation de prendre dans ma bouche sa belle verge. C’était une première, et comme de toute façon nous allions nous séparer je n’eus pas honte de ma faiblesse devant mon ami Victor.
    
    D’ailleurs lui aussi, à mon grand étonnement, s’était abandonné ; car je le vis à califourchon sur les jambes de son partenaire qui, assis au bord du divan, lui ceinturait le torse en lui pinçant les tétons. Et il était tout à fait évident, à son mouvement ascendant et descendant qu’il coulissait sur le « pivot de la joie ».
    
    Est-ce ce spectacle éminemment érotique qui en fut la cause, mais quand je sentis ma bouche se remplir de l’onctueuse liqueur, non seulement je ne fis aucun geste de rejet indigné. Mais au contraire je me surpris à la déglutir lentement, alors qu’au même moment je sentis l’agréable pénétration d’un doigt au plus profond d’une corolle qui, à cet instant souhaitait plus que l’agacement d’un bout de langue.
    
    Du côté du divan un sourd grognement de satisfaction me fit comprendre que notre ami de la Marine Nationale venait de terminer le traitement intestinal qu’il appliquait à ...
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