Camille, Hélène, Clémence et les autres... - Histoires de Sexe

Camille, Hélène, Clémence et les autres...

... son joli cul blanc.

— Mmmmm… Montre-la-moi, sois gentil, me demanda-t-elle en m’envoyant un clin d’œil, la pointe de la langue légèrement sortie entre ses dents.

Obéissant, je sortis ma queue et commençai à me masturber rapidement.

— Pas trop vite, quand même. On ne sait jamais, ça pourrait servir. Il te plaît, mon cul ?
— Ton cul est sublime.
— Et mes seins, tu les aimes aussi, hein, dit-elle en se retournant et en simulant une branlette espagnole avec l’halogène, sur la barre duquel elle passait sa langue, les yeux mi-clos.
— Je les adore.
— Tu voudrais bien y coller ta bite, je ne me trompe pas ?
— Oh oui, je…
— Et bien n’y compte pas, dit-elle en arrêtant sa danse contre la lampe. Aujourd’hui tu regardes, mais tu ne touches pas.
— Mais je…
— Pas de mais-je. Je te toucherai peut-être, mais si je le veux bien. Si tu es sage. Tu seras sage n’est-ce pas ?

Prêt à tout pour qu’elle ne fasse que m’effleurer, je m’empressai de la rassurer, la bite toujours à la main.

— Je serai TRÈS sage !
— Bien.

Elle revint sur le canapé en face de moi, et au passage se saisit d’une bougie posée sur la table basse. Elle s’agenouilla en me tournant le dos. Sans rien ajouter, elle commença à se passer le cierge entre les jambes. Je voyais son extrémité fouiller les replis de sa chatte, s’attarder sur son petit trou. Elle grognait, les yeux mi-clos. Je l’entendais même murmurer mon nom. C’en était trop pour moi, je jouis sur le champ et envoyai trois longs jets de ...

... sperme sur la table basse.

— Oh ! dit-elle l’air étonnée.

Elle lâcha la bougie et vint se pencher à genoux au-dessus de la table, et, les deux seins pressés entre ses mains, étala mon sperme avec en me plantant ses yeux dans les miens. Je fis un geste.

— Ne bouge pas. Tu es un vilain petit vicieux qui a sali ma table basse. Et je dois tout nettoyer maintenant.

Elle se mit alors à lécher consciencieusement mon foutre en ronronnant. Devant ma mine défaite, elle rit avant de lécher de nouveau le sperme. Quand elle eut fini, elle revint sur le canapé et remit ça, le cierge dans une main, elle se donnait du plaisir à un mètre cinquante de moi et murmurait.

— Mmmm… Jean-Baptiste… Oh oui, encore, passe-la-moi dans la raie… comme ça, mmmm, ta queue est bonne, dure, et longue. Mmm, continue.

Elle s’enfonçait maintenant la bougie dans l’anus. Dans mon cul ? coquin…

C’en était trop, je me levai, le sexe de nouveau raide à m’en faire mal. Je lui attrapai les cheveux et tirai sa tête en arrière.

— Suce ! lui ordonnai-je.

Elle rit et engloutit ma queue lentement, les yeux fermés. Je me mis alors à baiser sa bouche, comme s’il s’était agi de sa chatte ou de son cul. Au moment de jouir, je me retirai et lui envoyai de longues giclées de sperme en plein visage. Les yeux ouverts, elle les reçut en murmurant de longs « merci » langoureux.

Soudain étonné par mon comportement je me reculai, le sexe toujours prêt de cette bouche qui venait de me faire jouir et bafouillai ...