Camille, Hélène, Clémence et les autres...
Datte: 03/07/2021,
Catégories:
fh,
fplusag,
jeunes,
frousses,
inconnu,
voisins,
nympho,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
facial,
Oral
pénétratio,
coprolalie,
bougie,
bourge,
Auteur: Solario, Source: Revebebe
... avec nous dimanche soir prochain, un dîner correct ça ne peut pas vous faire de mal.
Je ne travaillais pas ce soir-là et acceptai avec plaisir. Nous nous saluâmes et je passais les quelques jours qui me séparaient du rendez-vous à me demander comment m’habiller, me comporter, dans ce milieu dont je ne savais alors pas grand-chose.
Pour tout vous dire, je pensais surtout à Camille C., la fille de mon propriétaire. Elle vivait dans l’appartement juste au-dessus de ses parents qui possédaient sans doute tout l’immeuble.
Je l’avais aperçue trois fois depuis mon arrivée. Je me souvenais parfaitement de chacune de nos « rencontres ». La première fois, je l’avais vue de loin trier son courrier devant sa boîte aux lettres, tenant du bout de ses fines dents blanches son porte-clefs, légèrement déhanchée, l’air pensive. Un mois plus tard, je lui rentrai à moitié dedans en descendant l’escalier trop vite. Le rouge au front, je jetai mon sac contre le mur et l’aidai à ramasser ses affaires, m’embrouillant dans des excuses toutes faites. C’est quand je me penchai pour l’aider que je m’aperçus que j’avais une vue plongeante sur son décolleté et ses deux gros seins. Immédiatement, je me mis à bander comme jamais. Le temps semblait s’être arrêté. Je me sentais si proche de sa poitrine bronzée que je pouvais voir le fin duvet blond qui semblait recouvrir tout son corps. J’avais envie de passer ma tête entre ses seins, de les lécher, de les toucher. Un instant, la vision d’une ...
... branlette espagnole me traversa l’esprit et je crus que j’allais avoir un orgasme. Puis, je réalisai que je m’étais arrêté et que Camille me regardait, l’air amusée. Elle avait sans doute dû remarquer mon intérêt pour ses seins, sans s’en offusquer. Je me demandai même si elle n’en était pas flattée, voire n’y prenait pas un certain plaisir. Mais je n’eus pas le temps de creuser la question. Encore plus rouge qu’avant, je me pliais en deux pour ramasser ce qui restait au sol et dissimuler mon érection phénoménale. Elle ne répondait pas à mes excuses, se contentant de m’observer sans bouger, toujours accroupie. Puis elle se leva et me dit :
— Merci Jean-Baptiste, je…
— Je suis désolé, vraiment, je me suis levé en retard et je…
Elle me fixait de nouveau, et après un petit rire me dit :
— Enchantée de faire ta… connaissance.
Elle laissa bel et bien planer un silence avant ce dernier mot. Pire, je crus même qu’elle regardait la bosse qui déformait mon pantalon. Alors que je me demandais si j’avais rêvé ou non, elle s’en allait déjà.
— Enchanté, Camille, dis-je comme pour moi-même.
Notre troisième rencontre fut encore plus torride. Je rentrai tard de mon travail et montai mes escaliers quand j’entendis des rires de fille dans l’escalier. Je jetais un œil sans trop réfléchir et m’aperçus que Camille était avec des amies. Elles avaient l’air un peu ivres et tentaient de regagner aussi discrètement que possible l’appartement de Camille. Depuis là où je les épiais, j’avais ...