1. Camille, Hélène, Clémence et les autres...


    Datte: 03/07/2021, Catégories: fh, fplusag, jeunes, frousses, inconnu, voisins, nympho, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation facial, Oral pénétratio, coprolalie, bougie, bourge, Auteur: Solario, Source: Revebebe

    ... :
    
    — Y’a quelqu’un ? puis, quelques secondes plus tard elle rajouta : c’est pas bien d’espionner les gens ! avant de passer le seuil de sa porte et d’allumer la lumière.
    
    Elle se retourna alors, toujours les seins nus, éclairée à contre-jour. Quand elle souleva sa jupe et se cambra je pus apercevoir en ombre chinoise les poils de sa chatte. Elle ne portait donc aucun sous-vêtement hormis ce soutien-gorge ridiculement petit. Puis, elle glissa sa main droite entre ses jambes et gémit :
    
    — Quel dommage, moi qui suis si seule ce soir… avant de rentrer chez elle et de refermer sa porte.
    
    Je n’en revenais pas, cette fille lui avait léché les seins sur son palier. Une fille avait léché les seins de ma voisine, et elle avait l’air d’aimer ça ! Cette Camille était décidément une belle petite garce.
    
    Le lendemain je me positionnai au même endroit et attendis. Camille et son amie arrivèrent en début de soirée, main dans la main, montant l’escalier quatre à quatre. Essoufflées, elles rentrèrent vite dans l’appartement en ricanant. J’eus beau me coller l’oreille à la porte, aucun son ne parvint jusqu’à moi. Dépité, j’allais rentrer chez moi quand j’aperçus la porte de l’appartement en face, entrouverte. Je pouvais apercevoir une femme d’une quarantaine d’années dans l’embrasure. Elle était rousse, et était vêtue d’une robe de chambre en satin sous laquelle on devinait aisément qu’elle ne portait rien d’autre.
    
    — Vous êtes déçu ?
    — Je… pas du tout, j’avais besoin de demander ...
    ... du sel…
    — Elles ne se tripotent pas dans l’entrée et du coup vous n’entendez rien c’est bien ça ? Donc vous êtes déçu.
    — Mais non, c’est un malentendu, je…
    — Je t’ai vu te branler sur sa porte hier soir, tu sais.
    
    Cette dernière phrase et le soudain tutoiement me cueillirent comme une gifle. Je restai sans rien dire. Pourquoi me disait-elle ça froidement ?
    
    — Approche.
    
    J’hésitais, elle répéta :
    
    — Approche. Je ne vais pas te manger.
    
    Et elle ouvrit plus grand sa porte. J’aperçus ses tétons sous le satin, durs et dressés. Dans une main elle tenait un grand verre à cognac à moitié plein qu’elle faisait osciller d’un mouvement de poignet expert qui me parut étonnamment érotique. Je me décidai à la rejoindre tandis qu’elle rentrait dans son appartement. Je fermai la porte et l’entendis m’appeler depuis le salon.
    
    — Viens. Je te sers un cognac ?
    — Oui, s’il te… s’il vous plaît.
    — Tu es le nouveau locataire des C. ?
    — Oui, j’ai emménagé à la rentrée.
    — Comment t’appelles-tu ?
    — Jean-Baptiste.
    — Et la petite Camille te fait bander dur n’est-ce pas ?
    — …
    — Inutile de nier, je te le répète, je t’ai vu te branler devant sa porte. Ta queue est d’un beau calibre, tu sais.
    
    Elle s’était assise en tailleur sur son canapé et avait rabattu sa robe de chambre devant son entrejambe. Puis, elle se saisit d’un flacon de crème pour le corps et commença à s’en passer sur les mains.
    
    — Je m’appelle Nicole.
    — Enchanté, Nicole.
    — Tu ne prends pas ton cognac ?
    — Si, bien ...
«12...678...»