Camille, Hélène, Clémence et les autres... - Histoires de Sexe

Camille, Hélène, Clémence et les autres...

... sûr dis-je en attrapant mon verre sur la table basse.
— Tu te branles en pensant à Camille ? Moi aussi figure-toi, dit-elle d’un air désinvolte en continuant de faire pénétrer la crème haut sur ses avant-bras, illustrant quasiment sa question. Ça nous fait déjà un point commun, fou non ?

De plus en plus mal à l’aise, j’avais soudain très envie de partir. Je me levai mais d’une voix autoritaire elle m’ordonna de rester :

— Assieds-toi. Et raconte-moi ce qui te plaît chez la jolie Camille.
— …
— Ses petits seins ?

Je ne trouvais pas que Camille avait des « petits seins » mais me gardai de le lui faire remarquer. Elle entrouvrit alors sa robe de chambre en levant un sourcil interrogateur, un doigt quasiment sur le téton.

— Moi j’adore ses seins, ils sont d’une taille parfaite. Les miens sont trop gros non ? Tu ne trouves pas ?
— …
— Non, pas ses seins alors ? Dommage… Elle refermait sa robe de chambre quand je compris son petit manège.
— Si, ses seins bien sûr.
— C’est bien ce que je pensais, dit elle toute excitée en faisant glisser le haut de sa robe de chambre sur ses hanches.

Ses seins étaient gros, vraiment très gros et la comparaison avec ceux de Camille prenait soudain tout son sens. Sa peau blanche contrastait avec le pendentif en ambre qui venait se nicher entre les deux énormes globes nacrés.

— Quoi d’autre ?
— Eh bien…
— Son joli petit cul ?
— Oui !
— Dis m’en un peu plus, sois gentil.
— Ses fesses me font défaillir. L’autre jour elle ...

... me les a montrées en les collant contre les barreaux de la cage d’escalier.
— Vraiment ? Elle s’améliore de jour en jour la coquine.
— J’ai failli…
— Oui ?
— J’ai failli jouir quand j’ai aperçu l’une des barres de la rambarde s’enfoncer contre sa culotte, entre ses fesses…
— Comme je te comprends.

Et elle se redressa toujours en tailleur, découvrant légèrement la toison rousse de sa chatte. Elle pivota et se leva en attrapant de nouveau son flacon de crème. Debout, elle me regardait en souriant et se mit une grosse noisette blanche dans le creux de la main avant de laisser le flacon retomber par terre. Elle s’approcha de sa lampe halogène, maintenant uniquement vêtue de son pendentif en ambre. Elle me regardait la tête tournée, me tournant le dos. Elle vint se positionner derrière la lampe et commença à enduire lentement de crème le tube métallique de la lampe, puis elle s’écarta les fesses et finit le travail avec son cul magnifique.

— Comme ça ? La barre a disparu comme ça ?

Son cul « avalait » littéralement la barre. Je bafouillai :

— Oui… tout à f… ouii, ex… exactement comme ça.

Je bandais maintenant comme un âne, j’allais me lever la rejoindre quand elle m’intima l’ordre de rester assis.

— Ne bouge pas ou j’arrête. Sors ta queue et branle-toi si tu veux, mais reste sur le fauteuil.
— Bien, je…
— Tu ne la sors pas ? Elle doit être toute comprimée, non ?

Et elle s’écarta les fesses à deux mains pour que la barre rentre plus avant dans la raie de ...