Camille, Hélène, Clémence et les autres... - Histoires de Sexe

Camille, Hélène, Clémence et les autres...

... d’une quarantaine d’années qui vivait au quatrième. Sans allumer la lumière, ils s’embrassèrent longuement pendant que je voyais Camille lui masser la queue à travers son pantalon.

— Reviens vite, Gérard, tu me manques déjà ! dit-elle en regardant l’entrejambe de l’homme.

Puis il appela l’ascenseur et Camille se moqua de lui.

— Tu m’as tué ce soir, je ne peux pas prendre l’escalier pour remonter , avoua-t-il.

Camille se faisait donc baiser par un certain Gérard, locataire dans le même immeuble. À y regarder mieux, je reconnus un homme que j’avais croisé une fois ou deux, accompagné de sa femme et de ses deux fillettes. Je ne sais pas pourquoi, mais je me mis à penser qu’après tout, moi aussi je vivais là et que j’avais donc le droit d’espérer un jour voir s’ouvrir les jambes de la jeune fille, qu’un jour je lui mettrais un doigt dans le cul à mon tour, et plus si affinités. Comme s’il suffisait de vivre dans l’immeuble pour être sûr d’obtenir les faveurs de la fille C. Ragaillardi par cette étrange idée pourtant ridicule, je grimpai quatre à quatre les escaliers et retournai dans ma chambre où je me branlais longuement en pensant à elle dans toutes les positions.

Où Jean-Baptiste rencontre Nicole sur le palier en face de chez Camille et où il s’aperçoit qu’il n’est pas le seul à s’intéresser à la fille des C.

La semaine me parut interminable. Tous les soirs où je ne travaillais pas, je me postais à l’étage au-dessus de chez Camille en espérant surprendre ...

... ses ébats à nouveau. Je commençai à me dire que ma patience ne serait jamais récompensée quand un soir, enfin, j’entendis Camille monter les escaliers avec une amie. À eux seuls, leurs gloussements étouffés me firent bander. Sur le seuil de son appartement, elle fit la bise à son amie qui, à mon plus grand étonnement, lui toucha la fesse tandis que Camille enchaînait en lui roulant une pelle longue et sensuelle.

Elles rirent de nouveau et l’autre, du même âge et a priori du même milieu social que Camille, la supplia :

— Allez, sois sympa, montre-les-moi, je sais que tu aimes ça en plus.
— Bon, d’accord, les voilà, tu es contente ?

Et, en quelques gestes rapides, elle déboutonna son corsage et dévoila ses adorables seins dans un soutien-gorge visiblement bien trop petit pour contenir ces deux gros nichons.

— Tu es contente, ils sont bien comprimés comme ça ?
— Mmm… ils sont parfaits, j’ai bien fait de piquer ça à ma petite sœur.

L’autre fille baissa alors les deux bonnets d’un seul geste et lécha chaque téton avant de repartir.

— À demain, lui dit Camille, toujours dépoitraillée.
— Mmmmmm, je mouille déjà ! gloussa son amie.

Camille s’apprêtait à rentrer chez elle, les seins à l’air, quand elle s’arrêta. Toujours en train de me branler, je venais de jouir et un gémissement m’avait échappé. Interdite, la jeune fille essayait de voir d’où provenait le bruit quand je fus sauvé par la minuterie qui plongea soudain la cage d’escalier dans le noir. Camille dit ...