1. Frère de sang (1)


    Datte: 02/07/2021, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Jane Does, Source: Xstory

    ... J’aime cette position allongée, mais bon sang que c’est chiant un plâtre.
    
    — On ne devrait pas... nous ne devons pas...
    
    — Tu l’as déjà dit, mais tu en crèves d’envie et je dois t’avouer que moi aussi. Et puis au moins pourrons-nous ainsi, qui sait, conjurer nos vieux démons. Ce que tu caches là me hante depuis que je suis en âge de... bander.
    
    — Tu ne m’en as jamais parlé !
    
    — Si tu crois que c’est facile de dire à sa frangine... tu as un chouette corps, j’ai toujours eu envie de te baiser. Un véritable supplice oui ! C’est aussi pour cette raison que j’espaçais mes visites le plus possible. C’est aussi vrai que dans tous les corps de femme que j’ai visités, et crois-moi, ils ont été nombreux, j’essayais de retrouver celui-là !
    
    —... ?
    
    D’un index pointé dans ma direction, il me désigne. Pour l’instant, je suis debout près du plumard sans bouger, Hervé me tient toujours la louche et lentement il m’attire vers lui.
    
    — Viens ! Viens près de moi, mais avant...
    
    Ses doigts sont sur la fermeture de ma jupe. Je ne fais rien pour l’empêcher de faire glisser le zip qui va ouvrir la ceinture. Voilà ! C’est fait et je suis maintenant en culotte devant l’homme qui, couché sur mon paddock, me rezieute sans sourciller.
    
    — Tu es encore plus belle que je ne me l’imaginais. Merde, que tu es bien foutue... attend ! Tu ne veux pas retirer le haut aussi ? S’il te plaît ?
    
    —... je...
    
    — Au point où nous en sommes... je les ai déjà tripotés tout à l’heure... S’il te plaît, ...
    ... viens aussi t’allonger là...
    
    Là ! C’est à ses côtés et pendant que béatement je retire mon chemisier, lui tente de faire coulisser son slip sur ses jambes. Pour celle normale c’est simple, cependant pour la seconde, l’opération requiert un certain courage. Il a du mal de le retirer, de s’en défaire. Autant que j’en éprouve pour ôter entièrement mon corsage. Et néanmoins, je le fais. Seuls désormais mon soutien-gorge et ma culotte interdisent la vue de mes parties intimes. Je me sens plus nue que si je l’étais vraiment.
    
    Sa main retrouve la mienne et je me sens attirée vers le lit. Quand j’y pose mes fesses, c’est bien paumé que je suis. M’enfonçant dans les profondeurs de mon âme, c’est avec une sorte de vertige que je m’y sens glisser. Il prend de suite le contrepied de cette étrange peur qui m’envahit. Ses lèvres viennent remplacer ce qui quelques minutes auparavant se frayait un chemin dans ma bouche. Je n’en reviens pas ! Ce baiser, il a un goût d’interdit, un goût de tabou et malgré tout, il m’enivre comme aucun de ceux que j’ai reçus ne l’a jamais fait.
    
    La langue qui tourne dans ce palais conquis a une saveur de miel et je me retrouve à mon tour en position horizontale. Les mains qui viennent fouiller ce que cache mon slip ne me sont pas si étrangères. Je creuse mon ventre pour que les doigts aillent plus profondément entre mes cuisses que j’écarte éhontément. Bien sûr que c’est bon, bien entendu que la honte qui coule en moi est un piment supplémentaire. Il me ...