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Frère de sang (1)
Datte: 02/07/2021, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Jane Does, Source: Xstory
... mon corsage, vers l’endroit où nait ma gorge. Ils restent là, sans avancer plus au-dessus du couloir que ma poitrine forme. Les phalanges naviguent de droite à gauche, sans oser franchir la barrière de décence que doivent représenter pour mon frère ces deux boules dont il n’aperçoit guère que le début. Je me redresse, consciente que je brise délibérément le charme de cette approche trop intime. Je ressens un profond abattement de tout mon être. Moi aussi j’aurais aimé qu’il... qu’il quoi d’ailleurs ? Ça ne se fait pas de baiser avec son frère ! Et pourtant, bon sang que mon ventre réclame ces caresses interdites. — Ne pars pas ! Tu n’es pas bien là, la tête sur mes genoux ? Pourquoi t’enfuis-tu ? Merde ! Pourquoi remuer le couteau dans la plaie ? Et puis, il y a cette paluche qui presse de nouveau sur mon front. Elle m’indique que je peux reposer ma nuque sur lui. Si je le fais que va-t-il se passer ? Je ne saurai pas résister une seconde fois à des effleurements trop précis. Alors pourquoi est-ce que je cède à ce désir de me remettre en place ? La main aussi est de retour sur ma poitrine. Mais elle s’est aussi enhardie. Elle empaume un de mes seins toujours emmaillotés dans les tissus du corsage et du soutien-gorge. Lui non plus n’a pas cessé de bander et ma remise en place me le fait comprendre presque de suite. La trique qui gonfle son caleçon est suffisamment explicite et importante pour ne pas passer inaperçue. Il a beau se creuser le ventre, j’en ressens ...
... la dureté contre ma nuque. J’ai compris également que le bruit que j’entends, c’est celui d’un bouton qu’il entrouvre en dégrafant mon corsage. Il me déshabille donc très lentement. Et si d’une patte il me caresse le front, l’autre, elle, ne se prive plus de rien. Hervé n’a pas retiré mon soutif. Il s’est contenté de faire basculer les bonnets vers le bas. Et l’opération m’a coupé le souffle. Entre deux doigts, il fait rouler un téton, ce qui immanquablement me fait respirer plus fort. Le second subit un traitement analogue. Il tente de reculer son corps, pour camoufler sans doute ce qui ne peut plus l’être. Ce retrait n’a d’autre effet que de faire surgir contre ma joue son sexe en érection. Je ne veux pas le voir, je ne veux pas savoir. Je sens seulement le frôlement du textile qui le couvre toujours. Pourquoi sa main a-t-elle quitté un instant mon front ? Je réalise soudain que c’est pour découvrir le mat de la grand-voile qui le masque. Ce qui se frotte à ma joue désormais n’a plus que de la chaleur... et une odeur qui me chatouille les narines. Je la connais pour en avoir déjà senti d’autres similaires, et même plus. Mes soupirs ne sont pas très discrets. Hervé ne peut ignorer que je suis en transe, que ces attouchements me font de l’effet. Du reste, sa patte sur mon front n’imprime-t-elle pas un mouvement pour que je tourne mon visage ? Le côté choisi recèle bien des mystères. Au moins l’un d’entre eux est devant ma bouche. Je revois ce gland dépassant de ses ...