1. Frère de sang (1)


    Datte: 02/07/2021, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Jane Does, Source: Xstory

    ... doigts cette nuit et... comment ma gorge peut elle s’entrouvrir pour laisser libre passage à ma langue ? Comment celle-ci atterrit-elle sur cette vision qui du coup devient réalité ? Cette fois, je me rends. Il gémit un peu lui aussi. Mais il ne peut guère faire de mouvements, sa jambe folle ne lui permet guère de latitude. Et la tige raide est dans mon palais. Que faire d’autre que téter cette douceur brûlante ?
    
    Bien entendu que je sais que c’est une folie. Mais comment lutter contre moi-même ? Et l’impression que je me caresse seule, que c’est moi qui me touche, me tripote. Pourtant ce que j’ai dans la bouche, n’a rien de commun avec ce que mon entrejambe contient. C’est l’exact contraire de mon intimité, ou plus exactement, c’est la pièce qui s’y rapporte le mieux. La main qui m’a guidé vers le sexe en extase a depuis longtemps oublié de me maintenir en place. Si je suis restée installée de la sorte, c’est bien de mon propre chef.
    
    — xxxXXxxx —
    
    Il se contorsionne au risque de se faire mal à la jambe. J’ai bien compris ce qu’il cherche et je ne l’aide pas. Pas question que je lui facilite la tâche. Je sais pourtant que j’en ai gravement envie, et l’idée du tabou que représente le fait que nous soyons issus d’un ventre unique ne parvient plus à endiguer le flot de contractions qui déferlent au fond de mes tripes. Je ne minaude que pour la forme puisque la première étape, celle de la fellation est franchie depuis quelques minutes déjà. Il y prend du plaisir et ...
    ... curieusement, j’en éprouve également de le garder dans ma bouche.
    
    Il me repousse gentiment le visage, en murmurant quelques mots qui mettent du temps à parvenir jusqu’à mon cerveau.
    
    — Attends ! Attends Myriam. Ne me fait pas jouir pas tout de suite, pas comme ça. Je te veux complément, entièrement... mais j’ai du mal de bouger avec ma jambe. Attends, sois gentille, non ! Ne me fais pas venir dans ta... non !
    
    — Humm !
    
    Je me suis arrêtée et je suppose que ça stoppe la montée de sève. Il respire plus calmement, je le sens moins crispé.
    
    — Tu ne voudrais pas que nous allions dans une chambre ? Sur un lit ce serait plus simple non ? Plus facile surtout pour moi... J’ai aussi envie de te toucher, de te humer, de te caresser, de te lécher... Aide-moi à me relever. S’il te plaît !
    
    — Je... je crois que c’est une grosse connerie... que nous ne devrions pas...
    
    — C’est la nature et nous ne pouvons pas lutter contre elle... donne-moi la main s’il te plaît.
    
    Je fais comme il le demande et debout, là dehors sur la terrasse, je perçois le ridicule de la situation. Son caleçon baissé, la bite tendue à l’air et moi dépoitraillée qui lui fais face. Je remballe grossièrement mes ballons, il remonte son calbute et alors qu’il sautille sur un pied, je le cramponne par son aile, côté valide. La direction donnée est celle de ma chambre. Et tout en sachant que c’est une vraie connerie, je l’y conduis quand même. Il se laisse tomber sur le lit avec un vrai soupir de soulagement.
    
    — ...