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Frère de sang (1)
Datte: 02/07/2021, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Jane Does, Source: Xstory
... vraiment été dépendant de quiconque et je m’aperçois que sans toi... je serai dans la misère. — N’exagérons rien. Tu as bien dans tes connaissances une copine qui serait passée quelques fois chez toi... — Non ! J’ai fait le vide autour de moi. Il me manque quelque chose depuis toujours. Je ne sais pas expliquer cela, c’est un peu comme si je ne vivais qu’une moitié de ma vie. — Qu’est-ce que tu me racontes là ? Tu veux dire que tu as un besoin de te retrouver ? C’est étrange parce que j’ai parfois des sensations identiques. Je compense cela par le travail, mais j’avoue que c’est souvent pesant. — J’ai souvent cru que, tu ne vas pas me rire au nez ? — Bien sûr que non ! Dis-moi ! — J’ai souvent cru, pensé que c’est toi la cause de ce mal-être ! — Tu veux dire que le fait d’être jumeau nous rend malheureux ? — Pas malheureux, juste anxieux d’être éloigné l’un de l’autre, comme si j’avais besoin de toi pour exister. Tu es une partie vitale de moi et mon esprit ne veut pas s’en séparer. Je me suis assise près de lui et mon visage se lève avec les yeux embués vers les siens. — C’est beau ce que tu me dis là, Hervé ! — Non Myriam, c’est simplement une évidence. Et je crois que je t’aime plus que toute autre femme. Aucune de celles que j’ai côtoyées jusque-là n’a ton attrait. Elles ne sont, ne seront jamais toi tout bêtement. — Tu te rends compte de ce que tu racontes ? Tu veux dire que c’est moi en elles que tu recherches ? — C’est sans ...
... aucun doute la vérité. Je ne sais pas pourquoi et c’est très compliqué dans ma tête. Mais je pense que là tu as touché le point sensible. Le fait que tu sois ma sœur ne renforce que ce sentiment de solitude qui m’étreint de plus en plus. Je ne parle plus. Ma tête s’est placée contre son épaule et je sens qu’il caresse mon visage lentement d’une main alors que de l’autre il relève une mèche de cheveux qui colle à mon front. Ces câlins réveillent en moi cette sacrée envie qui est née de le voir se masturber la nuit dernière. Je ferme simplement les yeux, laissant mon imagination déborder. Ce que mon cerveau me sert comme images n’est pas vraiment convenable. À quel moment me suis-je aperçue que sa patte avait franchi l’espace entre ma joue et mon cou ? Je ne veux pas m’en souvenir. C’est seulement magique et mon corps s’est relâché au point que je suis couchée sur lui. Ma caboche est cette fois à la pliure de son corps, sur le haut de ses cuisses. Et mes paupières closes ne veulent plus s’ouvrir. Peur de ce qui se passe, trouille de le sentir hésitant sur le chemin à emprunter ? Je n’en sais rien, ne contrôle plus ces sentiments imbéciles qui m’enveloppent d’une brume aveuglante. Mais ce que je sens qui durcit sous ma tignasse est bien la tige qu’il secouait devant un porno au milieu de la nuit. Je ne bronche plus d’un millimètre, attendant ce qui va se passer. Sur mon cou les doigts sont doux et également impatients. Ils glissent pas très franchement vers l’échancrure de ...