1. Mademoiselle Daphnée visite le Manoir


    Datte: 10/06/2021, Catégories: fh, hplusag, fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Oral pénétratio, fsodo, journal, fsoumisah, vêtements, Auteur: Monsieur de Guermantes, Source: Revebebe

    ... Elle caressa ma bite.
    
    — Il se fait tard. Je vous montre une ou deux choses ici. Une autre pièce encore. Puis il sera temps d’aller préparer le thé de dix-sept heures. Nous continuerons la visite une autre fois.
    — Je préfère aussi découvrir en plusieurs fois. Pour le plaisir de Monsieur, j’espère.
    — Vous pourrez venir dans cette salle de sport aussi souvent que vous voudrez pour vous détendre, faire votre stretching et vos exercices quotidiens. Je l’ai spécialement réaménagée avant votre venue.
    
    Daphnée regardait les différents appareils au sol. Elle approuva. J’ouvris grand les armoires murales où étaient rangées les serviettes et les huiles. Elle remarqua avec joie que des tenues de sport s’y trouvaient déjà : des jupettes de tennis, fort courtes et plissées, des mini-shorts moulants, des strings brésiliens et de petits hauts en microfibre ou lycra. De toutes les couleurs : bleu ciel, rose pâle, noir, rose vif, rouge, marron, bleu roi, turquoise, blanc.
    
    Je lui montrai ensuite la salle de bain. La douche. Et l’armoire où étaient rangées les parures, des ensembles trois pièces pour la plupart. Elle n’aurait pas à apporter ses propres effets. Elle me remercia longuement.
    
    Avant de quitter la salle de bain, elle replaça la couture sur ses jambes, se baissant avec beaucoup d’application devant moi. Après quoi, elle refit ses lèvres devant le miroir mural, et replaça son voile et la voilette sur son visage.
    
    La dernière pièce où je l’entraînai était la bibliothèque. ...
    ... Elle fut surprise d’y revenir.
    
    — Monsieur aurait-il oublié de me donner des instructions ?
    — Non. Je vais vous montrer quelque chose.
    
    Je déplaçai quelques volumes et actionnai un petit levier. Craquement de bois usé. Un pan de la bibliothèque s’ouvrit, dévoilant une ouverture sombre dans la pierre.
    
    — Ooohhh !
    — C’est un passage. Un escalier de pierre a été construit au moment de la Révolution pour permettre le déplacement et peut-être la fuite des habitants. Il dessert tous les étages depuis la cave et continue ensuite dans un souterrain, jusqu’à l’entrée du bois.
    — On y va ?
    — Oui. Vous pourrez l’utiliser pour ne pas avoir à traverser le couloir lorsque vous irez à l’étage. Vous n’avez pas peur du noir, j’espère ?
    — Si !
    
    J’avançai précautionneusement. Il faisait sombre, un peu humide. Je décrochai du mur un flambeau et l’allumai. Cela prit du temps. Ma salope me regardait faire, curieuse et intriguée.
    
    — Il faudrait que je me décide un jour à faire installer l’électricité.
    — Je trouve ça romantique, moi.
    
    Nous descendîmes, lentement, par l’escalier exigu. Daphnée me suivait en silence. À mi-chemin, elle me tira par la chemise. Je me retournai.
    
    Elle se tenait penchée en avant, son voile remonté sur la tête. Ses yeux brillaient dans la pénombre. Elle était exquise.
    
    — Mademoiselle !
    — Oui, Monsieur, j’arrive ! Me voilà, Monsieur !
    
    Daphnée tenait en mains le plateau à thé. Elle y avait déposé deux tasses, une théière style Art déco en porcelaine ...
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