1. Mademoiselle Daphnée visite le Manoir


    Datte: 10/06/2021, Catégories: fh, hplusag, fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Oral pénétratio, fsodo, journal, fsoumisah, vêtements, Auteur: Monsieur de Guermantes, Source: Revebebe

    ... grise et, sur une petite assiette, les cookies cuits ce matin à sa demande.
    
    — Monsieur va me gronder, j’ai cinq minutes de retard ! Je terminais de répondre au téléphone. C’était pour une commande de Monsieur, Monsieur.
    
    Elle posa le plateau sur la table du salon et s’assit sur le sofa en croisant les jambes, appliquée à respecter la cérémonie – une attention aux détails infimes poussée jusqu’à la perfection. Après quelques instants, je servis le thé et lui tendis une tasse en même temps que l’assiette de cookies. Elle croqua du bout des dents pour ne pas abîmer son rouge à lèvres.
    
    Nous étions ressortis du passage secret dans ma chambre, après la visite de la cave et du souterrain. Elle me proposa de changer les draps pour la nuit. Satin rouge.
    
    — Monsieur aura-t-il besoin de moi en début de soirée ?
    
    Je lui demandai de me rejoindre après son travail. Nous dînerions ensemble dans ma chambre vers dix-neuf heures. Elle acquiesça en silence, le visage baissé. Je devinai qu’elle songeait déjà à cette soirée.
    
    — Demain, il faudra terminer les comptes…
    
    Elle reposa sa tasse, passa la langue sur sa lèvre inférieure.
    
    — Avec grand plaisir, Monsieur. Je peux être une assistante très efficace, comme Monsieur a pu s’en rendre compte aujourd’hui.
    
    Je la regardai, amusé.
    
    — Quelque chose ne va pas ? Ma tenue ne convient pas à Monsieur ?
    
    Si, si, elle était ravissante ! Elle décroisa les jambes. Crépitement des bas. Elle se mit debout et fit deux tours sur ...
    ... elle-même, en souriant avec charme. Sa chevelure blonde platine retombait sur ses épaules.
    
    Elle portait du gris pour le thé. Ça lui allait bien. Je ne l’avais encore jamais vue avec des bas gris ; ceux qu’elle avait mis plissaient aux genoux, un relâché très enivrant. Sa tenue était sobre et fort simple, au demeurant : tailleur gris uni sur chemisier en satin ; petite veste courte, large col en V ; des gants de cuir, très fins, jusqu’aux poignets. La jupe tombait à mi-cuisses. Une fermeture sur les fesses.
    
    À ses pieds, des escarpins très jolis. Une bride derrière le talon découvert, une autre sur la cheville, le bout ouvert ; deux couleurs sur le pied, d’abord gris sur les orteils, puis une large bande blanche. Un cuir délicat.
    
    Je lui demandai ce qu’elle portait sous la jupe. Elle déboutonna la veste : guêpière grise, avec des broderies plus foncées sur les seins, tulle uni transparent sur les hanches et dans le dos. Une guêpière de salope.
    
    Je me dirigeai vers un guéridon. Je revins avec un coffret de feutre rouge. Elle hésita, puis l’ouvrit en douceur et découvrit des bijoux.
    
    — Je les ai trouvés ce matin en ville. Je veux encore vous remercier pour votre travail, Mademoiselle.
    — Monsieur est très bon avec sa salope.
    
    Des boucles d’oreilles assez larges, non fermées, et des pendentifs que je l’aidai à mettre étaient rangés dans l’écrin. Elle trouva aussi deux colliers de perles blanches pour chevilles. Elle en essaya un, qui lui plut immédiatement, et qu’elle garda à ...