1. Mademoiselle Daphnée visite le Manoir


    Datte: 10/06/2021, Catégories: fh, hplusag, fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Oral pénétratio, fsodo, journal, fsoumisah, vêtements, Auteur: Monsieur de Guermantes, Source: Revebebe

    ... expérimentée dans ce domaine, je connais certaines choses qui pourront être utiles à Monsieur, si Monsieur veut bien me faire confiance.
    
    La fin de la conversation fut joyeuse. Mon humeur maussade disparut d’un coup, ce qui enjoua ma secrétaire. Jusqu’alors, je ne lui avais guère prêté attention. J’examinai plus en détail sa tenue.
    
    Depuis trois jours qu’elle est à mon service, Daphnée a pris l’habitude de se changer dès son arrivée. Cette pratique s’est imposée de manière naturelle.Pour mon plaisir et celui de Monsieur, a-t-elle déclaré avec professionnalisme. Elle arrive donc en avance, vers midi, et se rend dans son boudoir où elle reste une heure trente environ. Il est convenu qu’elle commence son travail en début d’après-midi, après un briefing d’un quart d’heure au cours duquel je lui expose les tâches de la journée. La proximité qui nous relie dans le travail, mais surtout le fait qu’elle soit le plus souvent seule dans le bureau font qu’elle choisit invariablement des tenues mettant en valeur toutes ses qualités, et destinées à me convaincre de son entier dévouement. Du reste, elle trouve de jour en jour l’assurance qui lui manquait au début, et accède à mes désirs en même temps qu’elle consent sans relâche aux siens.
    
    Aujourd’hui, elle portait une longue robe noire, entièrement fendue de chaque côté jusqu’aux hanches, avec une réduction des deux pans de tissu à l’avant et l’arrière. Une tenue de salope, qui moulait merveilleusement son cul, tout en dévoilant ...
    ... sans réserve les jarretelles roses sur ses cuisses. De très beaux bas, d’un noir assez clair, brillant, recouvraient les jambes entièrement visibles. Elle portait aux pieds des escarpins vernis à talons aiguilles. Les cheveux, en bataille, retombaient sur ses épaules. Son maquillage était moins souligné que d’habitude, mais sa bouche tout aussi glissante. Des gants vénitiens en lycra dissimulaient ses mains, jusqu’aux avant-bras.
    
    — Par quels comptes dois-je commencer, Monsieur ?
    — Le linge de maison. Vous ferez un inventaire complet, dès cet après-midi. Par ailleurs, je n’ai pas eu le temps de porter des draps au village hier, en raison de l’orage. Il faudra y aller.
    — Je peux les repasser, Monsieur.
    — Ça ne rentre pas dans vos obligations de service, Mademoiselle.
    — Oh, Monsieur, je vous en prie ! Laissez-moi faire…
    — Il faudra faire vite, Mademoiselle, pour ne pas perdre de temps.
    — En ce cas, je cours me préparer, Monsieur.
    
    Nous avions rendez-vous pour faire l’inventaire du linge. À quinze heures, j’allai retrouver ma secrétaire qui s’activait dans la buanderie. Elle comptait une pile de draps, un bloc de papier dans une main, un stylo MontBlanc© dans l’autre. Ma présence ne parut pas la déranger. Elle ne se retourna pas à mon arrivée.
    
    — Si Monsieur veut bien me laisser terminer, je serai à lui dans un moment.
    
    Je m’étais assis pour la regarder. Ses gestes étaient précis et minutieux. Elle comptait en silence, concentrée. Mes consignes étaient respectées à ...
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