1. Mademoiselle Daphnée visite le Manoir


    Datte: 10/06/2021, Catégories: fh, hplusag, fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Oral pénétratio, fsodo, journal, fsoumisah, vêtements, Auteur: Monsieur de Guermantes, Source: Revebebe

    ... chambre. Anciennement réservée aux hommes d’Église, elle était à l’abandon depuis plusieurs années. Daphnée sourit en découvrant le large lit à barreaux métalliques au milieu de la pièce.
    
    — Monsieur n’aura qu’à m’y attacher pour me punir quand il voudra !
    — Qui vous délivrera, Mademoiselle ?
    — Je suis sûre qu’un vaillant Chevalier viendra réveiller sa Princesse, Monsieur.
    
    Par une porte de côté, dont les pentures rouillées rendaient l’ouverture difficile, nous passâmes dans un boudoir qui servait autrefois de retraite. Le réduit, tendu de soie rouge, éclairé à l’aide d’un bougeoir posé sur un guéridon de bois d’olivier lorsque le soleil déclinait, formait une accueillante petite pièce. Au fond, au-dessus d’un canapé XVIIIème, se trouvaient des rayonnages et quelques livres de patristique ; un prie-Dieu en velours mauve cardinal, ainsi qu’une petite table réservée à lalectio divina constituaient le reste du mobilier.
    
    Ma salope me fit remarquer qu’il serait dommage de ne pas remettre en état une alcôve si charmante. Elle s’agitait un peu en marchant. La voir habillée de blanc sur fond rouge suscita en moi quelque pensée joyeuse.
    
    — Oh, s’il vous plaît Monsieur, promettez-moi de ne pas délaisser cette chambre. Je pourrai y tenir compagnie à Monsieur, si Monsieur le désire, pendant qu’il sera occupé dans ses papiers.
    — C’est un peu sale pour le moment.
    — Comptez sur moi pour faire de cette pièce un lieu de travail, Monsieur.
    — On verra. Après travaux, cette ...
    ... chambre pourra devenir un bureau, le boudoir vous servira…
    — De boudoir, Monsieur ! Pour y accueillir Monsieur, quand Monsieur le désirera.
    
    Elle battait des mains. Je la regardai, pensif. Elle s’excusa. Elle était heureuse et passa la langue sur ses lèvres. Ses yeux étaient rieurs. Je la repris par la taille, mais elle plaça mes mains plus bas. Le tulle du déshabillé était savoureux ; son cul, ferme et bombé. Elle souleva délicatement ses voiles et glissa sa langue dans le creux de mon oreille. Me mordilla de ses lèvres grasses. Bruit humide. Frissons. Puis redescendit sur ma joue, jusque dans ma bouche.
    
    — Je pourrai bientôt sucer Monsieur, s’il vous plaît ?
    
    Mais je l’entraînais déjà par la main, vers le couloir et la salle de sport.
    
    Le soir commençait à tomber lorsque nous pénétrâmes dans la salle de sport, sous les combles de l’aile est. J’allumai les halogènes. L’appentis s’éclaira, d’abord faiblement. J’avais oublié que Daphnée était tout en blanc. Un halo de pureté l’enveloppa. Une apparition miraculeuse. Elle rayonnait. Cerclée de rouge au milieu du visage. Je m’éloignai pour la regarder avancer. Elle s’exécuta sous mes yeux, posément, sûre d’elle, se déhanchant avec grâce, les bras le long du corps. Elle s’arrêta au milieu de la pièce.
    
    — Monsieur aime voir sa vierge ? Sa salope vierge ?
    — Vous êtes très belle.
    — C’est pour Monsieur. J’appartiens à Monsieur. Je suis à lui.
    
    Elle se jeta dans mes bras. Ses fesses étaient dures, les jarretelles saillantes. ...
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