1. Mon cul, pour mon mari, son patron et leurs clients. (1)


    Datte: 01/06/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    ... poilu que celui des autres Japonais, il était beaucoup plus gros. C’était même le plus long de tous et tout me porte à croire que les Japonais en commentaires les dimensions entre eux. 9A pointait à 20 centimètres. C’était arqué, le gland bien en haut vers le ciel, avec un épais prépuce sur un gland fort et bien découpé.
    
    Tacha attendit que je m’enfile sur la belle bite circoncise de Clément puis il promena son sexe dans ma raie, hésitant sans doute quant à l’orifice. Mais, par timidité sans doute, il choisit aussi le vagin.
    
    Il y avait longtemps que je n’avais pas pris de double et il fallut m’habituer à ces deux jolis mandrins.
    
    — Putain, ce qu’elle est bonne ta femme ! C’est vrai confirma Tachata.
    
    Mon mari exprima un sourire de satisfaction.
    
    Les Japonais essayaient d’approcher leur bite pour se faire sucer pendant que les deux mecs me déboîtaient.
    
    On me fit ensuite revenir sur le canapé. Comme nous n’étions pas chez nous, je craignais que nous le tachions. Et vu la taille de ce meuble entièrement en cuir fait sur mesure et où nous tenions tous sans nous serrer, ça devait coûter bonbon de le faire restaurer après l’avoir maculé de taches de sperme. Et vu la note que l’entreprise aurait à payer pour la location, le resto et le personnel, il n’était peut-être pas utile d’ajouter les frais aux frais.
    
    — On devrait le protéger, dis-je.
    
    — Tu as raison, mon amour. Je vais faire le nécessaire
    
    Mais au lieu d’aller chercher lui-même ...
    ... des draps, il sonna le personnel.
    
    — Qu’est-ce que tu fais, lui demanda Clément ?
    
    — J’appelle !
    
    — Dans cette tenue ? Mais ça va pas !
    
    — Ah merde, j’lai fait machinalement.
    
    Mais il était trop tard, le majordome vint illico.
    
    Malgré tout son flegme, il resta interdit devant le spectacle. Il faut dire que je venais de me mettre debout et que je m’appuyai contre le canapé sur lequel un homme se dressait, sa queue ayant entièrement disparu entre mes lèvres. Tacha continuait de me ramoner la chatte par-derrière tandis que les deux Japonais restants, en rut comme il se doit, cherchait à empoigner les seins. Les deux Français triquaient à mort devant le spectacle en se branlant doucement.
    
    Le majordome finit par demander.
    
    — Monsieur a sonné ?
    
    — Oui, voulez-vous aller chercher des draps s’il vous plaît.
    
    Puis il sortit mais je l’entendis distinctement dire à la domestique.
    
    — Putain, ils sont tous en train de niquer la meuf.
    
    La fille apparut immédiatement sur le pas de la porte et se mit à mater.
    
    Puis elle souleva sa petite jupe pour mettre sa main dans sa culotte.
    
    — N’hésitez pas à vous approcher, dis-je.
    
    — Merci Madame, mais il faut que je demande à mon mari.
    
    — C’est qui votre mari ?
    
    — Clotaire.
    
    — Qui est Clotaire ?
    
    — Celui avec qui je travaille, le majordome... c’est mon mari.
    
    — On me demande dit celui-ci qui arrivait au bout du couloir.
    
    La fille sortit aussitôt la main de sa culotte.
    
    A suivre. 
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