1. Mon cul, pour mon mari, son patron et leurs clients. (1)


    Datte: 01/06/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    ... libre de faire ce qui me plaît et c’est bien comme cela que je l’entends.
    
    Je pris la main de mon mari et fis asseoir les Japonais dans un canapé.
    
    Puis je me mis à genoux devant mon mari et ouvris sa braguette. Sa queue se déploya superbe. Je la suçai avec avidité. La journée passée enfermée dans le slip lui donnait un goût de mâle délicieux. Tout en suçant, je regardai les Japonais en me faisant la plus lascive possible... Le plus jeune fut le premier à sortir son zguègue.
    
    Alors je m’approchai de lui et pris son chibre en bouche avec la même satisfaction que celui de mon mari. Il était plus gros que je ne l’aurais cru, affichant à peu près 18 centimètres aussi. De ma main droite, je caressai ses abdos pendant qu’il déboutonnait sa chemise. Il était sec mais musclé. Ses tablettes de chocolat formaient un relief appétissant. Ce mec s’entretenait. Puis je massai le sexe de son voisin Itata ; en tâtant le tentant Itata, je m’aperçus que son sexe devait être plus petit.
    
    Sonkuva Téklaté, appuyait de toutes ses forces sur ma tête pour que sa bite s’enfonce le plus profondément possible. Il donnait des coups de bassin et râlait déjà comme une bête.
    
    Je me dégageai pourtant et basculai vers son voisin et recommençai ce que j’avais fait avec l’autre. Ma main droite était désormais posée sur le sexe de son copain de gauche et réciproquement ma main gauche sur le type de droite que je venais de sucer.
    
    Pendant que je suçai le gars du milieu en branlant les deux ...
    ... autres, Sonkuva se mit intégralement à poil. Enfin, je pris le dernier, le plus vieux, dans ma bouche en continuant de masturber vigoureusement celui du milieu.
    
    Celui-là était un objet de choix. Il fallait le convertir car, après tout, il m’avait résisté. J’étais un peu vexée qu’il ait mégoté alors que les deux autres étaient disposés à négocier une fortune pour prendre mon cul. Je m’appliquai donc à le pomper avec soin et ardeur en essayant de me débrouiller comme une professionnelle.
    
    Les trois Japonais commentaient dans leur sabir natal en riant. On aurait pu croire qu’ils se payaient ma tête mais ils prenaient un plaisir évident. Le langage du plaisir est universel. Quand un mec que l’on suce penche sa tête en arrière, ferme les yeux et vous appuie sur le crâne pour guider votre action, c’est qu’il kiffe.
    
    En jetant un regard autour après quelques coups de langue énergiques, je m’aperçus que les deux autres japonais étaient complètement nus ou presque (ils avaient gardé leurs chaussettes). Mon mari se tenait debout et se touchait lentement en contemplant.
    
    Les Japonais, sauf Sonkuva remarquablement taillé, étaient des mâles ordinaires, ni corpulents, ni musclés, avec des bites plutôt petites mais bien tendues et de petits roustons. Ils n’avaient absolument aucun poil sauf les aisselles et les sexes perdus dans une toison très abondante, ce que j’aime.
    
    Un gars ça doit être un gars !
    
    Clément et Tacha s’étaient mis en arrière et ne savaient visiblement pas quoi ...
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