1. Mon cul, pour mon mari, son patron et leurs clients. (1)


    Datte: 01/06/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    La signature du contrat aurait dû avoir lieu dans un hôtel mais le patron de Jacques, mon mari, avait trouvé plus vendeur de louer une résidence de luxe près de Paris où l’on pourrait loger les clients japonais. Le temps du week-end. On les soignerait aux petits oignons, le jeu en valait la chandelle. On ferait un peu la vie parisienne, Moulin-rouge et tout le toutim, puis on signerait le contrat le samedi en fin de journée après un bon resto et autour d’un champagne de prix, ensuite nos hôtes disposeraient chacun d’une chambre de luxe avant un petit-déjeuner somptueux et retour à Roissy.
    
    Clément, le patron aussi un ami vu que mon homme est son plus proche collaborateur, presque quadragénaire et célibataire, souhaitait que je fasse office de maîtresse de maison.
    
    — Clélia, ton charme opérera. C’est capital. Jusqu’au dernier moment, tant que rien n’est signé, nous ne pouvons pas nous permettre le moindre faux pas.
    
    J’avais naturellement accepté.
    
    Avais-je le choix d’ailleurs ? La jeune boîte était en péril de mort. La commande japonaise permettrait d’ouvrir un marché qui assurerait plus d’un an de commandes, de quoi consolider l’avenir, et trouver d’autres clients pour permettre la survie définitive de l’affaire.
    
    Je n’entendais pas grand-chose aux activités de mon mari et de son patron, mais nous ne devions presque pas parler affaires puisque, au demeurant, tout était conclu. Manquaient les signatures sur le papier.
    
    Je vis peu les trois Nippons le vendredi ...
    ... soir et le samedi après-midi. Je les retrouvai au resto avec mon mari et Clément et un jeune traducteur. Tout le monde parlait anglais mais Clément, par prévenance pour nos hôtes avait loué les services d’un interprète dont la mère était née à Genève et le père à Tokyo. De plus il s’était assuré que la traduction du contrat était conforme dans les trois langues, français, anglais et japonais. Tachata Mouyé travaillait souvent pour l’entreprise et était presque un familier. Il avait gardé un nom oriental. Il était traducteur assermenté auprès de l’administration et des tribunaux. Son métissage lui donnait les cheveux très noirs et les yeux bridés mais il était très grand.
    
    Celui qui apparemment était le chef de la délégation japonaise s’appelait Itamitou Sonju. Peut-être était-il sexagénaire. Le deuxième était Monsieur Itata Koku, plus jeune d’une dizaine d’années approximativement et le plus jeune, trentenaire, répondait au nom Sonkuva Téklaté.
    
    Le dîner fut un succès. J’étais la seule femme mais cela ne me dérangeait pas.
    
    Nous avions loué une limousine pour rejoindre la résidence où, enfin, nous devions signer le fameux contrat.
    
    Tu leur as manifestement beaucoup plu Clélia. Merci beaucoup, je crois qu’on te devra une fière chandelle. Tout s’est passé comme sur des roulettes.
    
    Nous avions fait appel à un traiteur pour préparer le champagne et tout ce qui allait avec la signature du contrat. Le personnel, composé d’un majordome largement trentenaire et noir comme ...
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