Mon cul, pour mon mari, son patron et leurs clients. (1)
Datte: 01/06/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: yannlakeu, Source: Xstory
... pas même vu les yeux écarquillés du type.
— Là, c’est différent chérie, dit-il tout penaud.
— En quoi ? C’est que du cul... sauf qu’on est plus nombreux.
— Il en est hors de question ! Intervint Clément ! Je refuse. Bien sûr vous êtes libres de votre sexualité tous les deux et j’apprécie votre offre, mais c’est moralement inacceptable. On ne va pas te vendre à ces salopards, on ne va pas céder à ce chantage... je préfère encore voir couler la boîte.
— Mais on va pas céder, dis-je. On négocie. Je vais les mener par le bout de leur bite moi ces trois gusses.
Et je m’adressai directement à eux en anglais.
— Alors, on veut me baiser ?
Ils répondirent par des courbettes et des rires gênés. Ils ne s’attendaient sans doute pas à me voir prendre les choses en main.
— Voici mes conditions : Comme prévu, on signe le contrat maintenant et vous faites le virement bancaire de l’acompte immédiatement. Mais vous abandonnez la clause de résiliation, vous doublez la commande et le prix est majoré de 10 % car nous vous faisons une offre préférentielle qui va nous amener à retarder nos prestations sur d’autres clients. Sonki, redit le tout en japonais pour que nous soyons sûrs que tout est bien clair.
Ni Jacques ni Clément n’avaient eu le temps de dire ouf. Sonki traduisait.
— T’es dingue chérie.
— Oui, mais merci quand même Clélia. Reprit Clément -Tu y es peut-être allé un peu fort. C’est gonflé. Sans l’augmentation de 10 %, ils auraient peut-être cédé... mais ...
... là, l’honneur au moins est sauf. Ils vont devoir renoncer à leur proposition et nous au contrat. T’es quand même culottée.
— C’est normal si on veut que je me déculotte.
Les trois Nippons discutaient ferme.
— Ils hésitent dit Tachata. Le plus vieux ne veut rien entendre, Sonkuva veut le contraindre et Itata est partagé entre le désir de ne pas contrarier celui qui est en principe son supérieur hiérarchique, sans désavouer un membre de la famille dirigeante... et il n’est pas insensible à ton charme. Mais ils ont besoin de la signature de Itamitou. Et il n’a pas l’air de vouloir capituler.
Alors, je m’approchai du trio, enlevai mon chemisier et mon soutien-gorge pour qu’ils matent mon opulente poitrine, plus massive que celle de la plupart de leur compatriote. Je la pris dans les mains et pressai mes seins l’un contre l’autre presque sous leur nez.
— Vous signez maintenant ou vous allez dormir à l’hôtel !
Il y eut un moment de flottement et le jeune hurla au vieux :
— Signe !
Il fallut un certain temps pour réécrire les contrats aux nouvelles conditions dans les trois langues et donner l’ordre à la banque de faire le virement. Pendant ce délai, Itamitou ne cessa de grommeler et de dire que ce n’était pas bien alors que l’autre, celui qui voulait me sauter trépignait d’impatience et ne cachait même pas son érection qui tendait son pantalon.
Au moment de signer Clément me dit:
— Clélia, on peut encore tout arrêter tu sais.
— Je sais. Je suis donc ...