1. Mon cul, pour mon mari, son patron et leurs clients. (1)


    Datte: 01/06/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    ... faire.
    
    — Clément et Tacha, qu’est-ce que vous attendez ?
    
    — C’est pas correct de ma part, dit Clément.
    
    — J’ai une copine dit l’autre.
    
    Jacques s’approcha de Clément et lui passa un bras au-dessus de l’épaule.
    
    — Allez viens ! Si elle te le propose... et puis, comme elle a dit tout à l’heure, c’est pas la première fois qu’on partage... Avec toi, ça va être sympa... d’ailleurs on y avait déjà pensé.
    
    Pour toute réponse, Clément haussa les épaules et ouvrit les bras d’un air de dire : "Bon ben si c’est comme ça" ! Puis il commença à déboutonner sa chemise. J’étais très curieuse de voir comment il était fait.
    
    Quant à Tacha, je lui dis :
    
    — C’est sérieux avec ta copine ? Tu sais, cela restera entre nous.
    
    Il balança encore un peu puis murmura : "OK, c’est bon". Après quoi il commença à se déloquer fébrilement en commençant par enlever ses godasses.
    
    Comme je continuai à lécher la bite d’Itamitou qui succombait maintenant à mes caresses linguales, Sonkuva se déplaça et vint se coller contre moi. Il était clairement obsédé de cul ce mec. Il entreprit de me pénétrer.
    
    — Halte là garçon. Tu mets une capote !
    
    Il me demanda si je craignais de tomber enceinte et, sans attendre la réponse, me signifia qu’il éjaculerait dans ma bouche, sur mon visage ou sur mes seins.
    
    — Ça va être dans la bouche, précisa Tacha. Ils adorent ça en règle générale.
    
    Ce n’était pas d’être enceinte qu’il était question puisque je prenais la pilule. Je ne voulais pas attraper de ...
    ... maladie. Cette remarque fit rire les Japonais qui, après une courte discussion entre eux jurèrent leurs grands dieux qu’ils étaient innocents comme au premier jour. Tachata me dit que je pouvais leur faire confiance, leur code de l’honneur, très strict, interdisant une supercherie de ce type. Et par la même occasion, il me précisa que c’était la même chose pour lui.
    
    Quant à mon mari, je n’avais aucun doute, restait Clément qui me fit signe que c’était bon pour lui aussi.
    
    — Tu peux y aller, dis-je alors au japonais.
    
    Il se mit en bouledogue et planta d’un coup sa bite dans mon vagin en m’agrippant les seins. Puis il pinça mes tétons. Il braillait des choses incompréhensibles mais qui exprimaient une satisfaction visible.
    
    Les seins écrasés sur les genoux du vieux, je continuai à le sucer et à donner de la main, à droite ou à gauche pour prendre les queues qui se présentaient.
    
    Sonkuva se démenait comme un beau diable et tringlait fort, très rapidement et violemment. Il était endurant, c’est clair. Il me secouait et c’était très bon. Il n’arrêtait pas de gueuler.
    
    — Ce sont des insultes, me fit savoir Tacha.
    
    — Dommage qu’il ne puisse les dire en français.
    
    Puis le Japonais décida de se reposer un peu et demanda que je sois prise dans les deux trous.
    
    Je jetai mon dévolu sur Tachata et Clément.
    
    Clément s’allongea et je m’entendis pour lui sucer la bite avant de venir m’empaler dessus, offrant la croupe à Tacha. A ma grande surprise, si son sexe était aussi ...
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