A nous les petites Indiennes, suite
Datte: 26/05/2021,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Jpj, Source: Hds
... manifestement marqué quelques points la veille au soir où la nuit dernière. Suffisait de voir sa suffisance pour comprendre que mes deux copains y étaient passés, longuement.
En sus, ce matin, c’était à moi que la fillette dévergondée s’intéressait sans vergogne des deux Comanches qui m’accompagnaient.
Moi je pensais, les tribus Peaux Rouges, c’est Sparte et Athènes, c’est castagne permanente. Pas étonnant que les colons européens les aient réduites et parquées en réserve en même pas un siècle.
Les deux Comanches sont restées juchées sur leurs mustangs et leurs yeux noirs lançaient des éclairs depuis les hauteurs de leur position dominante. Les chevaux étaient à l’unisson et vibraient des naseaux et bavaient dans leur mors.
Moi, j’avais sauté à terre trop content de me libérer enfin de l’épine dorsale de l’animal qui martyrisait ma bite tendue depuis le début de la rando.
La fillette brune aux cheveux courts à la garçonne se frottait à moi de ses nibars, de son pubis. Le teeshirt ne cachait rien des volumes agités de ses seins et le short jean non plus du charnu proéminent de sa vulve.
Elle avait un comportement de chatte en chaleur comme fille de Belgique quand la plaine est fumante et tremble sous juillet.
Moi je pensais, les copains n’ont probablement pas été à la hauteur cette nuit et n’ont pas su calmer les ardeurs de cette petite Indienne. Heureusement que me voilà, Zorro el Caliente, de Janson de Sailly.
Elle m’a dit dans l’oreille, en ...
... cherokee dans le texte, attend qu’elles descendent et je les prends toutes deux à la fois et leur ferai mordre la poussière, bagarre, trouble, les quatre tresses à main gauche et la droite en punition.
T’ont-elles au moins bien sucé ?
Moi je suce, j’avale de fond de gorge en cadence et quand vient la gicle je bouffe tout. C’est de là que me viennent ces beaux nibars de grande que je me trimbale par devant.
Et tout ça, elle me l’a dit en anglais mâtiné d’haleine prononcée de chewing-gum et d’accent country pire que charentais chez nous.
La porte du ranch s’est ouverte en bruit de charnières grippées.
Les deux Comanches étaient sur leurs bêtes, ma jument était attachée de sa bride à un poteau de bois, la petite Apache s’enroulait autour de moi de ses bras de ses jambes, mes copains restaient cois debout les mains noires du cambouis du buggy sur lequel ils avaient mécaniqué depuis tôt le matin pour le faire démarrer.
Le vent soufflait en rafales et soulevait la poussière du patio.
Le V8 tournait en ralenti rageur sourd lourd plein de promesses.
La fille qui est sortie du ranch était comme une apparition de film, comme une entrée théâtrale.
Grande, blonde, fine et musclée, regard d’yeux bleus comme Henri Fonda Nobody et surtout attitude méprisante envers les péones, nous, qui nous contentions, sous-offs, de piétaille.
On a tous trois compris que les deux Comanches et l’Apache, n’avaient été que tapas apéritifs, modestes, avant le vrai plat qui ferait ...