1. A nous les petites Indiennes, suite


    Datte: 26/05/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Jpj, Source: Hds

    C'est une histoire un peu spéciale qui se passe au Far West avec des Indiennes et des Français.
    
    Les Indiennes sont Comanches et Apaches, les Français juste des parigots.
    
    Vous verrez, ça chahute pas mal... Le début a paru il y a quelques jours, sous le même titre
    
    J’ai pris la suite à la douche, moi aussi en slip blanc. Non mais, un Françouze c’est pas plus compliqué qu’Américaines, même Comanches.
    
    Dans la chambre les lumières étaient éteintes quand je suis rentré, serviette en pagne, encore un peu humide.
    
    Mon lit, j’avais dû faire erreur, était occupé. Je suis allé à l’autre lit. Malheur, il l’était aussi.
    
    Le hasard à moins que ce n’ait été le Bon Dieu a alors fait choir ma serviette qui s’est affalée au sol à mes pieds.
    
    La jeune Indienne Comanche a alors jailli de sous la couette d’antilope brune et m’a happé de lèvres douces et mouillées. Ma tige modeste était molle au sortir de la douche chaude. Mon gland entièrement recouvert de sa protection prépucique a été englouti d’aspiration jusqu’à fond de glotte.
    
    Elle a voulu que je choisisse sa couche pour ma nuit lors que je ne savais pas même si elle était aînée ou cadette.
    
    Comme il est de bon ton chez nous en France, on se doit de se plier aux désirs des hôtes, et moi j’étais d’accord pour baiser l’une et aussi pour baiser l’autre. Donc tout était dans l’ordre des choses et je me soumettais volontiers à l’injonction.
    
    Elle a voulu parler et a donc dégagé sa bouche. Mais j’avoue que je n’ai rien ...
    ... compris à sa discourade.
    
    Je me suis néanmoins glissé sous la couette, un peu rèche, de peau tannée. Le drap du dessous était, lui aussi, râpeux. Assurément pas de cotonnade mais plutôt de laine cardée et tissée. La seule chose douce et agréable à la peau dans ce lit était le corps tout fin de la petite Comanche. Alors j’ai fait contre mauvaise fortune bon cœur et me suis encafourné contre, tout contre elle.
    
    J’ai compris qu’elle était la cadette au palot tout trempé de salive qu’elle m’a, une fois encore, prodigué.
    
    Elle se frottait contre moi et je sentais bien la douceur de ses seins de toute jeune fille aux mamelons mous sans tétons. C’était bien la cadette et non pas l’aînée. L’ainée avait des nibars gros et fermes de grande fille, avec tétons pointus.
    
    Je pensais, l’ainée est dans mon lit, là-bas à côté, à m’attendre ; ne suis-je pas dans l’impertinence en lutinant la petite sœur lieu de baiser la grande ? Dans ces pays aux mœurs différentes des nôtres n’est-il pas inconvenant de ne pas respecter hiérarchie d’âge ?
    
    Mais la petite Comanche avait filé sous la couette d’antilope et prétendait enfourner à nouveau mon zob. Malheureusement le bitos avait pris dimension extrème, long, droit, dur, épais et l’opération était devenue difficile pour un si jeune gosier insuffisamment développé et surtout de trop peu d’expérience félatrice.
    
    Elle roucoulait entre mes cuisses et bavait sur mon ventre. Elle jouait de ses mains sur mes roupes et amenait furtivement mon gland à ...
«1234...10»