A nous les petites Indiennes, suite
Datte: 26/05/2021,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Jpj, Source: Hds
... ses lèvres pour aspirer à petits coups les vagues émanations préséminales qui suintaient de mon méat.
Son postérieur était devant mon nez et je sentais sur mon visage les caresses évanescentes de sa toison aux poils fins longs et droits. Fin duvet de gamine prébubère, non frisé, au fumet puissant malgré la douche et les savons.
Mes mains à sa taille j’ai tiré à ma bouche ses lèvres vulvaires ouvertes et me suis trouvé inondé comme en son palot baveux. La gamine Comanche avait un tempérament de jeune mariée aux muqueuses vaginales dégoulinantes de mouille claire et fluide.
Ma langue a su visiter et la profondeur aux mille villosités et le bouton turgescent dressé comme minibit en haut de fente.
Ses longues contractions qui aspiraient ma langue au fond d’elle et semblaient vouloir la garder captive m’ont fait comprendre sa satisfaction.
Apaisée, la cadette, s’est retournée et m’a chuchoté à l’oreille, my sister now ... tandis qu’elle me serrait dans ses bras, bien décidée malgré tout à ne pas lâcher sa proie.
La frangine avait compris qu’il lui fallait prendre maintenant initiative si elle ne voulait pas finir vieille fille au fond de l’autre lit, mon lit, le lit du stagiaire français.
Elle est venue à pas de loup pieds nus et nous a, à tous deux, caressé le visage. Ses mains balayant les cheveux bruns de sa sœur et aussi les miens, ses lèvres parcourant de petits bisoux nos nuques nos cous. Elle était agenouillée auprès de nous, ses mains sous la ...
... couette d’antilope imposant nos poitrines nos ventres et donnant à nos corps comme bénédiction et calme.
La cadette m’a quitté et son aînée s’est glissée sur la laine râpeuse pour me saisir de ses grands bras et me presser de ses beaux nibars chauds et mous.
J’ai entendu que la petite Comanche avait gagné l’autre lit et qu’elle s’y était installée solitaire, probablement sous une couette similaire à celle-ci, de peau de bête sauvage tannée.
L’ainée était contre moi mais ne cherchait pas à tripoter mon organe. Elle était toute chaste et timide. Dans le noir de la chambre j’imaginais ses yeux baissés et sa retenue.
Probablement était-elle en obéissance au père, au grand père, au sachem. En recherche des gènes exotiques qui viendraient enrichir la tribu.
Son ventre s’ouvrait de deux cuisses levées comme grenouille et l’invite coulait entre elles. Mon bitos bien raide s’est senti autorisé à visite. Nos corps restaient immobiles. Seuls nos sexes se parlaient.
Son vagin palpitait et serrait mon bitos en cadence comme on sonne l’angélus au clocher du village.
Mon engin souple et dur cherchait à y entrer plus encore. Je pensais, et ensuite j’y mets les roupes aussi pour faire bonne mesure et puis je cale le gland derrière le col, dans le mou.
Si tout va bien, la tendresse fera son job et déclenchera nos satisfactions respectives. Je giclerai en cadence mon jus procréatif au fond d’elle abuté au doux, dessus le col dur.
Et elle, me traira sur toute ma longueur, ...