La panne
Datte: 21/05/2021,
Catégories:
fh,
jeunes,
caférestau,
hdomine,
Oral
nopéné,
Humour
Auteur: Igitur, Source: Revebebe
— Ça ne va pas, Pierre ?
— Si, si, pourquoi ?
— Je ne sais pas tu as l’air préoccupé. Un problème avec la superbe blonde avec laquelle je t’ai aperçu l’autre jour ? Tu n’as pas réussi à conclure ou tu penses déjà à une autre conquête ? En général quand tu es dans cet état il y a une belle dans le paysage. Enfin, d’habitude tu es plus enjoué, plus excité. Là, je te trouve abattu, c’est pas ton genre.
— J’ai… je… Ça colle bien avec Laetitia, la grande blonde de l’autre jour, mais… enfin… L’autre soir je suis passé chez elle, c’était la soirée où j’allais conclure, j’étais en pleine forme, nous avons passé une super soirée, cinéma, restaurant romantique, elle était sexy, j’étais élégant, bref le grand jeu. Nous sommes allés chez elle pour un « dernier verre », nous nous sommes embrassés, nous nous sommes caressés, puis elle m’a arrêté net, ce n’était pas la bonne période…
— Bah, rien de grave ! On a tous un jour ou l’autre été renvoyés dans notre coin par des ragnagnas intempestifs.
— Le problème n’est pas là… Quand elle m’a rembarré… ça m’a plutôt soulagé… depuis une heure que je la lutinais… je… je ne bandais pas !
— Ah ben, merde, une panne, toi, le queutard insatiable ! Allez, c’est pas grave, juste un coup de fatigue, un peu de repos et tu vas la revoir et lui faire goûter ta vigueur retrouvée, pour une fois que les anglais débarquent au bon moment, réjouis-toi, t’es vernis !
— C’est ce que je me suis dit aussi. Je suis allé me coucher, après une bonne nuit, j’ai ...
... voulu vérifier que tout allait bien, je me suis tapé un porno qui m’a toujours mis au garde-à-vous, je me suis tripoté la nouille comme un damné, mais rien, la débandade totale.
— Merde alors, tu as essayé le gingembre ou un autre aphrodisiaque ?
— Un plein jus bien frais de gingembre, je l’ai préparé moi-même, rien. J’ai même fait pire, Jean… Je me suis offert une professionnelle. Pas une tapineuse, une« escort » grand luxe. Elle y a mis tout son savoir-faire. Rien qu’à la voir venir vers moi à poil en roulant des hanches, ma queue aurait dû se dresser, mais rien. Elle m’a caressé, elle m’a sucé avec une science de la cochonnerie que je n’imaginais même pas, elle a ondulé et m’a mis sous le nez ses seins gigantesques et son cul incroyable, mais ma bite est restée un petit pénis tout mou. J’ai ressenti une honte horrible et l’escaladeuse de braguettes était furieuse, elle m’a foutu à la porte en disant qu’on ne l’avait jamais humiliée comme ça. Mais elle ne s’est pas gênée pour me taxer mon pognon.
— Oh putain !
— C’est le cas de dire !
— J’ai relu presque toute ma bibliothèque érotique sans le moindre frémissement du vit. Jean, je n’ai plus entre les jambes qu’un tuyau flasque qui me sert à pisser !
— Ah merde, merde, merde. Tu as vu un médecin ?
— J’ai rendez-vous demain. Hé, Jean ! Tu es un ami, tu ne dis rien à personne hein, promis ?
— Bien sûr mon vieux, promis. T’inquiète pas tu vas vite retrouver la forme. Aller, fais confiance à la médecine.
Je ne voulais ...