Latifa reprend du service
Datte: 13/05/2018,
Catégories:
f,
ff,
fff,
asie,
cadeau,
prost,
nympho,
bizarre,
amour,
fsoumise,
fdomine,
humilié(e),
vengeance,
jalousie,
dispute,
Voyeur / Exhib / Nudisme
vidéox,
pied,
Masturbation
Oral
fdanus,
jouet,
zoo,
sm,
donjon,
attache,
BDSM / Fétichisme
baillon,
yeuxbandés,
fouetfesse,
Humour
aventure,
Auteur: Calpurnia, Source: Revebebe
... pas comment tu fais pour être aussi détendue, dit-elle. D’habitude, à ce moment-là, les prisonnières sont en larmes et supplient misérablement qu’on les épargne.
— Ça m’avancerait à quoi ? Tu me libérerais, si je te suppliais à genoux ?
— Non. Si je cédais, je me retrouverais aussitôt à ta place.
— Tu es belle. Si je ne savais pas que tu es une hétéro, je te ferais la cour.
— C’est Murena qui t’a dit ça, parce qu’elle m’a vue me faire baiser par un mec sur son fameux fauteuil, c’est ça ?
— Oui. C’est faux ?
— C’est vrai, mais homme ou femme, je m’en fous. Ce que les gens ont entre leurs jambes ne m’intéresse pas.
— Décidément, je ne m’habituerai jamais à l’appeler comme ça : je la connais sous le prénom de Nolwenn. Et moi, je te plais ?
— Oh oui ! Mais, tu vois, j’ai absolument besoin d’argent, parce que j’ai contracté une dette que je ne parviens pas à rembourser, auprès de gens qui ne plaisantent pas. À défaut de payer, je risque de me retrouver sur le trottoir. Tu peux avoir mes charmes si tu en as envie, tout ce que tu veux de moi. Mais en échange, j’aimerais prendre l’argent qui est dans ton sac à main. Note que j’aurais pu faire ça sans te demander la permission, mais je ne suis pas une voleuse. D’habitude, je prends deux cents euros. Tu n’en auras plus besoin, car tu sais, tu vas mourir ce soir, sur la scène.
— D’accord. Je n’ai pas tout ce liquide, mais tu peux prendre ma carte bleue. Je vais te donner le code, tu pourras retirer cette somme à un ...
... distributeur, puis jeter la carte dans une boîte aux lettres de la Poste. Si tu me fais confiance…
— Oui, je te fais confiance. Tu veux que je te fasse du bien avec ma langue ? Tu dois en avoir besoin : j’ai vu que tu as été frustrée de ton orgasme par la masseuse, tout à l’heure.
— Non, laisse. J’ai besoin de garder mon corps en tension, pour le spectacle. Ça m’aidera à tenir. J’aimerais plutôt que tu te déshabilles.
— Comme tu veux. Par contre, même si j’ai la clé, je ne peux pas te libérer de tes liens. Si je le fais et que Murena s’en aperçoit, elle va m’envoyer sur le fauteuil, moi aussi. Tout, sauf ça !
— Tu as si peur d’elle ! Elle a une réputation si terrible ?
— Chacune de nous la craint. Elle est belle, parfois câline, mais absolument redoutable en affaires et quiconque nuit à ses intérêts s’en mord cruellement les doigts. On dirait qu’elle a des yeux derrière la tête pour savoir tout ce qu’il se passe ici. Il doit y avoir des caméras cachées un peu partout.
— Alors elle sait que tu te prostitues auprès des prisonnières ?
— Oui. Mais elle s’en cogne.
Elle s’avance vers moi, vêtue seulement de sa grande culotte blanche. Elle a de très beaux seins, bien ronds, bien replets, comme j’aime – je leur dis ça à toutes, mais en fait, j’aime tous les styles de poitrines. Elle les présente à mes lèvres pour me permettre de les suçoter, ce que je fais avec délice. Un tatouage noir orne le mamelon gauche, sur la partie inférieure. Une araignée velue.
— Tu aimes mon tatouage ? ...