Latifa reprend du service
Datte: 13/05/2018,
Catégories:
f,
ff,
fff,
asie,
cadeau,
prost,
nympho,
bizarre,
amour,
fsoumise,
fdomine,
humilié(e),
vengeance,
jalousie,
dispute,
Voyeur / Exhib / Nudisme
vidéox,
pied,
Masturbation
Oral
fdanus,
jouet,
zoo,
sm,
donjon,
attache,
BDSM / Fétichisme
baillon,
yeuxbandés,
fouetfesse,
Humour
aventure,
Auteur: Calpurnia, Source: Revebebe
... vagin, pour masser son point G d’un mouvement vers le haut, comme pour dire « viens ici », et un cunnilinctus, ou bien des vibrations juste positionnées sur le bouton des délices. Voilà, j’arrive à la faire crier, ce qu’elle fait sans retenue. À nouveau, ses pieds comme terrain de jeu à mes chatouillements, alors que la stimulation vibratoire se poursuit automatiquement.
Seconde étape : fouiller l’anus d’un doigt bien lubrifié, et le vagin de l’autre main. Elle s’est toujours délectée de cette façon de l’explorer. Au contact de sa petite rosette, elle me regarde bizarrement. J’enfonce entièrement l’index. Surprise ! Il y a un petit objet métallique caché dans le rectum. J’extrais la chose : c’est une clé.
— Tu as trouvé le sésame. Elle ouvre la porte du fond, dit-elle. Si tu veux, tu peux t’enfuir. Ce serait, convenons-en, faire preuve d’une certaine lâcheté, mais je t’y autorise. Tout ce que je te demande, c’est de faire preuve de discrétion vis-à-vis de mes activités.
— C’est hors de question. Si je sors, je raconterai immédiatement tout à la police. Tu assumeras tes actes.
— En réalité, je ne peux pas t’en empêcher. Trahis-moi, si ton cœur te l’ordonne. Ma haine contre toi n’en sera que plus implacable.
Je marque un temps d’hésitation. D’un côté, Élodie qui m’attend, inquiète. Mon sort personnel me préoccupe peu, mais je ne veux pas lui causer du chagrin. De l’autre, une voix intérieure, insane, désire ce fauteuil, comme soumise, comme héroïne intrépide, sous ...
... les yeux d’un public. Ma dernière danse sera glorieuse. Vertige narcissique d’un triomphe mortel. C’est de la folie furieuse. Peut-être même est-ce stupide. Ce choix est sans retour.
— Je reste.
Lâchée d’entre mes doigts, la clé tombe par terre. Bruit de ferraille. Mon destin est scellé. Incapable de la soumettre plus longtemps, je libère Nolwenn de ses liens.
— Viens, dit-elle, j’ai envie de toi. Cela fait si longtemps. Tu veux bien ?
Elle me ramène dans ma cellule, où nous faisons l’amour sur les cendres d’un amour qui n’existe plus. Cela n’empêche pas les caresses ni mes sens de s’extasier dans ses bras. Son odeur intime me transporte, les yeux fermés, vers des vertiges sensuels. Le corps a son inclination qui lui est propre, indépendamment de nos choix conscients. Instinctivement, nous retrouvons nos gestes d’amantes. La profondeur de l’empreinte que Nolwenn a laissée en moi, durant toutes ces années de vie commune, rend l’attirance pour son corps impossible à combler.
Nous sommes si vulnérables dans l’étreinte. Je pourrais facilement l’étrangler. Souvent j’ai porté ma main jusqu’à son cou au moment de sa jouissance, et je retrouve ce réflexe qu’elle accompagne de sa propre main. Elle se laisse faire sans la moindre réaction, et m’y encourage même. À cet instant, tout pourrait basculer. Nous pourrions nous ré-unir, reformer notre couple. C’est la dernière chance.
Elle se lève, se rhabille et quitte la cellule en refermant à clé derrière elle. À ce moment, ...