1. Thérèse, celle qui rigole quand on la... chatouille


    Datte: 30/04/2021, Catégories: fh, grp, inconnu, cinéma, collection, vidéox, Masturbation Oral pénétratio, fsodo, Partouze / Groupe Humour totalsexe, Auteur: Tito40, Source: Revebebe

    ... notre première rencontre, dans une boîte, il m’a annoncé la couleur :
    
    — T’as un de ces culs de salope… J’y foutrais bien ma queue !
    
    On fait plus romantique, mais ce n’était pas pour me déplaire. Je lui ai répondu du tac au tac :
    
    — Il est déjà tout mouillé, mon cul, connard, alors t’as intérêt à assurer !
    
    Pour assurer, il a assuré. Comme une bête. J’en ai pris plein la chatte et il m’a dilaté la rondelle comme un chef. Wouah j’en ai encore des frissons. Taillé en V, on aurait dit qu’il faisait de la musculation à temps plein. Sa queue, c’était pareil. On aurait dit qu’il faisait de la muscu de la bite. Un pieu comme ça, j’en avais rêvé. Et j’en rêve encore, tellement j’ai adoré qu’il me fasse mal. J’avais beau mouiller, il me déformait à chaque fois. Putain, que c’était bon… Y’a pas à dire : quand on aime ça, on aime ça !
    
    Il me baisait chaque jour, et à chaque fois c’était le pied. Avec lui, pas de dentelle. Il me prenait quand il avait envie. Des fois je n’avais pas le temps de descendre de la voiture, de finir mon repas, de monter les escaliers. Il m’attrapait, m’arrachait la culotte, déboutonnait son pantalon, et sans même me demander si j’étais d’accord me pénétrait direct. Il me traitait de tous les noms en me pistonnant comme un malade, me crachait sa gourme n’importe où, puis me faisait un bisou sur les lèvres en concluant par un « Putain, que t’es bonne ! »
    
    Il ne se demandait jamais si j’avais joui ou pas ; on aurait dit qu’il s’en foutait. Et ...
    ... pourtant je peux vous dire que oui, à vous, parce que ça vous intéresse. Oui, je jouissais à chaque fois, plusieurs fois, même. J’aimais ça. J’aimais qu’il ne me ménage pas, qu’il me prenne brutalement, qu’il me pince les tétons, qu’il me griffe le dos, qu’il m’encule, qu’il me tape sur le cul. J’aimais tout ce qu’il me faisait.
    
    Je me suis installée avec lui dans son petit appartement miteux dans lequel j’ai mis de l’ordre. Ça en avait besoin. Il avait trouvé un boulot de mécanicien, bien payé, et ça nous suffisait pour vivre. Il s’est mis à rentrer de plus en plus tard. Il allait boire des verres en ville avec des potes et me délaissait. Je sentais bien qu’il n’était pas totalement heureux. À part baiser, on ne faisait pas grand-chose ensemble. J’ai laissé faire, mais ça me pesait. Puis un jour, j’en ai eu marre. Je suis allée faire le tour des bars pour voir où il était et avec qui. Et là, surprise. Ou pas. Ils étaient une dizaine à rire aux éclats, bières à la main. Et dans la dizaine il y avait une jeune blonde maquillée comme une voiture volée qui visiblement lui faisait du gringue. Le salaud… J’ai compris tout de suite qu’il devait la baiser, cette salope.
    
    Je suis rentrée dévastée par ce doute terrible. À son retour, il était bourré et ne m’a pas bourrée. C’était un aveu. Il a prétendu avoir trop bu, mais il puait le sexe. Il avait sûrement baisé la blonde avant de rentrer et n’avait plus de jus. Crise de jalousie, pleurs, menaces de le quitter et tout ça tout ça, on a ...
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