Thérèse, celle qui rigole quand on la... chatouille
Datte: 30/04/2021,
Catégories:
fh,
grp,
inconnu,
cinéma,
collection,
vidéox,
Masturbation
Oral
pénétratio,
fsodo,
Partouze / Groupe
Humour
totalsexe,
Auteur: Tito40, Source: Revebebe
À presque 70 ans, on peut dire que j’en ai déroulé, du câble. Elle est vilaine cette expression, je sais, mais j’assume à la fois de l’employer ainsi, de façon provocante, et d’avoir vécu ce qui en fait la substance. Avec l’âge, on prend des rides et des kilos, mais on prend aussi du recul. Heureusement.
Je me suis mariée une première fois quelques jours après mon 18ème anniversaire. C’était un peu tôt mais j’étais pressée. Mon fiancé aussi. Il avait 5 ans de plus que moi ; c’était déjà un homme. Il avait fait son service militaire et se vantait d’avoir eu plusieurs expériences exaltantes avec des filles faciles ou pas. Une bête de sexe, en somme, ou une bête de somme au lit. À l’entendre fanfaronner, il allait me faire découvrir l’extase, la vraie. J’avais hâte. Hâte de connaître la vie et de me barrer de chez mes parents.
On était ensemble depuis deux ans ; à l’époque, il était tout de même inconcevable d’offrir son hymen à quelqu’un d’autre que son légitime époux. Il me parlait de sexe, tentait régulièrement de me culbuter, mais je résistais. Il me montrait ce qu’il appelait « sa matraque » pour me provoquer, mais je restais stoïque. Je me refusais à lui montrer à quel point moi aussi j’en avais envie. Il était impératif pour moi de convoler en justes noces avant de croquer la pomme.
Le jour de mon premier mariage restera pour moi le jour le plus long. Je voulais savoir, je voulais goûter, je voulais être une femme, je voulais voir le loup, je voulais savoir ce ...
... que ressentent les femmes quand un sexe les pénètre. Eh bien il fallait attendre, encore. Le maire nous avait félicités, le curé nous avait fait la leçon sur la procréation, la fidélité, l’amour éternel. Nos parents nous avaient pris dans leurs bras et nos amis avaient jeté du riz, mais il fallait encore attendre le repas, puis la première danse, puis les suivantes, puis puis puis… Je n’en pouvais plus. Je dégoulinais comme une cochonne, à m’en enrhumer le fion.
Mon mari semblait se satisfaire de tout ça. Sans doute voulait-il profiter encore du champagne qui coulait à flots, de l’ambiance festive, des photos avec les uns et les autres. Toujours est-il que quand enfin nous avons pu nous retrouver dans notre chambre nuptiale pour qu’il vienne me culbuter comme je le méritais, j’étais véritablement morte de faim. Et lui, mort tout court. Il s’est déshabillé à la hâte pendant que je me débarrassais de mon encombrante robe blanche, et s’est littéralement jeté sur moi. J’étais heureuse, mais heureuse… vous ne pouvez pas imaginer à quel point : j’allais enfin me faire sauter. J’avais les cuisses bien écartées. J’ai saisi sa queue pour la guider vers mon miracle poilu, et là je l’ai senti se crisper et se redresser. Il est devenu tout rouge, s’est mis à suffoquer, et s’est écroulé sur moi. Il n’a même pas eu le temps de sentir à quel point j’étais mouillée. À peine mariée et déjà veuve.
1959, une année sans.
Les médecins ont mis ça sur le compte d’une malformation cardiaque, ...