Thérèse, celle qui rigole quand on la... chatouille
Datte: 30/04/2021,
Catégories:
fh,
grp,
inconnu,
cinéma,
collection,
vidéox,
Masturbation
Oral
pénétratio,
fsodo,
Partouze / Groupe
Humour
totalsexe,
Auteur: Tito40, Source: Revebebe
... emmenée dans sa bagnole qui puait la clope. Il a bien retiré ma culotte trempée. Il m’a bien bouffé le cul. Mais jamais il n’a réussi à bander. Ce fut une bonne soirée tout de même, mais qui s’est terminée quand il s’est endormi sur moi.
Je croyais passer encore mon tour et réciter le « Je m’en passe » pour le restant de mes jours. C’était sans compter sur l’un des potes du gars qui m’avait plantée, et qui nous observait à travers la vitre embuée en s’astiquant. Il a failli partir en courant en voyant que je l’avais repéré, mais il n’a pas eu le temps. Son pote dormait ? Qu’à cela ne tienne. Saisi par la queue, il n’a pas pu me dire non. D’ailleurs, il n’en avait sans doute pas le goût.
Enfin j’étais une femme, une vraie. Enfin un homme m’introduisait son sexe en érection entre les cuisses et me baisait. Quel bonheur ! Ce n’est pas tant le plaisir physique dont je me souviens – j’ai eu d’autres expériences bien plus torrides après – mais du plaisir moral. J’aurais voulu que la Terre entière me voie écarter les cuisses, m’entende hurler de plaisir et m’applaudisse. J’ai joui longuement, prise de soubresauts incontrôlables. J’ai pissé partout en même temps, mon corps n’en faisait plus qu’à sa tête.
Depuis le temps que j’attendais ça, c’est quand même un peu un sentiment de déception qui m’a envahie. C’était bien de se faire tringler, mais je m’attendais à mieux. Un homme plus fort et plus viril, une bite plus grosse, plus longue, plus dure, plus de sperme à lécher, ...
... plus de claques sur les fesses. Ce que j’imaginais, finalement, c’était d’être défoncée comme une traînée, comme ces filles dans les films pornographiques qui hurlaient, se faisaient prendre à la chaîne, prenaient même plusieurs mecs en même temps, se faisaient insulter. Je m’imaginais que, pour elles, la jouissance était bien supérieure encore à ce que je venais de vivre.
Après ça, les mecs, j’en ai usés quelques-uns. Je savais ce que je voulais, et si je ne le leur disais pas tout de suite, c’était pour qu’ils me respectent un peu avant de me voir à l’œuvre. Une fois au lit, il ne fallait pas me la raconter : je voulais de la queue, de la vraie ! Je commençais à avoir une réputation un peu limite, d’ailleurs. Quelques-uns s’étaient vantés de m’avoir honorée. Je niais, bien sûr, mais seuls les niais me croyaient. Il y avait ceux qui se servaient de ça pour me dénigrer, et ceux qui se disaient qu’ils me baiseraient volontiers. Je préférais les seconds, même si au fond je trouvais glorifiant de séduire les premiers pour qu’ils voient ce qu’ils auraient raté en continuant.
Jusqu’au jour où je suis tombée sur la perle rare. Vraiment. Un jeune retraité de l’armée qui avait été héroïque pendant la guerre d’Algérie, et qui en avait vécu des vertes et des pas mures. Un mec qui sentait le sable chaud et montrait des muscles longs et fermes. Un mec qui bandait rien qu’en me voyant bâiller, et qui en plus me le disait. Il était cru, direct, presque vulgaire, et j’adorais ça.
Dès ...